Comment faire face à tout ce traumatisme dû aux attentats sur Paris ?

nuages Par Marianne AOUN ROBERTY psychologue et sophrologue

Le choc

La plupart d’entre nous avons été en état de choc lorsque nous avons appris les attentats sur Paris ce 13 novembre 2015.  Ce déferlement de violence inouïe était impensable, inédit depuis des décennies en France. D’autant plus que la cible était aveugle sans distinction de couleur de peau ou de religion, frappant au hasard. Cela aurait pu être l’un de nous à cette terrasse de café, ou dans cette salle de concert. C’est justement parce que ces victimes nous ressemblent que nous nous sentons  en état de choc. Sidéré. Effondré. Parce que nous pouvons nous identifié. Parce que le danger n’était pas prévisible pour aucune de ces victimes.

Aller prendre un verre avec des amis, aller manger au restaurant en famille, aller au concert pour son anniversaire ne sont pas des actes dangereux par nature, bien au contraire !

Le temps de recueillement

Le besoin de recueillement, de communion font partie du processus de deuil.

Le deuil est un processus long et complexe, qui peut passer par plusieurs étapes : l’étape du choc, en premier lieu, la sidération, l’incapacité à comprendre ce qui se passe.  Puis l’étape du dénie on ne peut, ne veut pas y croire,  suit souvent celle de la colère et du questionnement : pourquoi ? Où l’on cherche des responsables…, ensuite peut venir l’étape de l’effondrement dépressif avec  le chagrin, la difficulté à appréhender l’absence, et enfin  avec le temps, l’étape de l’acceptation, bien que ce mot ne soit pas si bien choisi, peut être plutôt le temps de l’apaisement

Dans les moments que nous avons vécu le 13 novembre, la sidération, l’incompréhension, la colère, l’effondrement, ont été collectifs. Que l’on ait perdu quelqu’un de proche ou non. Car c’est le hasard injustifié qui a touché les victimes.

Chacun à sa mesure va trouver ce temps, en famille, entre amis, ou de façons collectives.

Comment affronter ce traumatisme collectif ?

Je dirai qu’il est important de poser des mots sur son ressenti. Parler, s’exprimer, débattre, s’informer, dire ses sensations, ses peurs, sa peine, son chagrin.

De parler, de dessiner, d’écrire, de créer si cela fait partie de vos automatismes, de vos envies.

Peut-être aussi de militer si cela vous convient mieux.

De communier  de façon laïque ou selon ses croyances avec d’autres.  Se rapprocher les uns des autres dans des moments collectifs difficiles c’est tout simplement normal, humain.

Et aussi, de se recentrer sur nos valeurs, celle qui fonde notre unicité, notre équilibre personnel.

En sophrologie, j’irai vers des exercices d’ancrage, des exercices de recentrage, et bien entendu vers le 4ème degré sur la vivance des valeurs d’humanité, d’unicité, d’universalité, d’éternité.

Et après ?

Personne ne peut prévoir l’avenir, personne ne peut dire si cela recommencera ou non.

Alors j’aurai tendance à dire, profitez de chaque instant de la vie. vivez chaque minute avec intensité. Ne renoncez pas à vos rêves, à vos valeurs, soyez  vous-même, pleinement, intensément. Dites à ceux qui comptent pour vous combien vous les appréciez.

Vivez l’instant présent, l’ici et maintenant en toute  conscience, profiter de chaque petit bonheur qui passe, justement, avec cœur, avec intensité.

Parce que nous en valons la peine, parce que la vie en vaut la peine. Parce que la liberté d’être ce que nous somme en vaut la peine.

 

le chèque santé qui prend en charge la psychothérapie

la start-up Care Labs créée par Vincent Daffourd et Guillaume Gallois, mets en place une nouvelle manière d’envisager la santé, en particulier en offrant de s’occuper de la personne en amont du mal, c’est à dire sur le plan de la prévention.

Le chèque santé propose de mettre en place un partenariat entre l’entreprise , le salarié et les professions paramédicales de bien-être et de développement pour miser sur la prévention en proposant un complément des couvertures santé déjà existantes.

l’entreprise est invité à investir pour le bien être de ses salariés.

vertPour ma part, je souhaite un ample succès à ce système simple d’utilisation pour le salarié, et peu couteux pour le professionnel.  Un système qui favorise la prise en compte des besoins de bien-être, de bien-vivre des salariés, et qui comprend la nécessité d’une aide à cette prise de décision.

L’intérêt est triple, l’entreprise s’y retrouve en ayant des salariés créatifs, compétitifs et sereins, le salarié peut se permettre des consultations pour son mieux-être, vers des spécialités comme la psychologie, la sophrologie, l’ostéopathie, ou toutes professions paramédicales de bien-être et de développement,   et ces professionnels non afiliés à la sécurité sociale peuvent accueillir un plus grand nombre de clients.

la société CARS LABS touchera 3% des honoraires du professionnel.

N’oublions pas qu’il vaut mieux prévenir que guérir, cela coûte bien moins cher à la société.

Avec ce chèque santé, un plus grand nombre de personnes peuvent enfin avoir accès à des soins qui jusqu’ici, restaient innaccessibles car trop cher pour eux.

https://www.facebook.com/ChequeSante?fref=ts

 

Boucle d’or en conte sophro

 

 

boucle d'orIl était une fois, une jolie petite fille aux cheveux blonds et bouclés que l’on appelait Boucle d’or.

Un jour de printemps, comme il faisait beau et que la forêt près de chez elle sentait bon, elle décida de faire un beau bouquet pour sa maman.

Elle cueillait  de jolie fleurs,  de toutes les couleurs, et qui sentaient tellement bon… chaque fois qu’elle levait la tête elle voyait une fleur encore plus jolie un peu plus loin dans la forêt, ou une fleur qui envoyait son parfum jusqu’à elle…

Imagine, tu es devant un parterre de fleur de toutes les couleurs ! C’est beau ! Et puis imagine encore, les parfums de chacune de ces fleurs ! Ça sent tellement bon !

Tant est si bien que Boucle d’or se perdit dans la forêt.  Elle marcha un peu, elle avait un peu peur… elle sentait son cœur un peu serré, sa respiration était un peu rapide… et soudain, elle aperçut une petite maison. La porte était ouverte, alors elle rentra.

Dedans il y avait 3 chaises.

La première chaise était très haute, elle essaya de s’y assoir mais « ouille, ouille, ouille, dit Boucle d’or, cette chaise est trop dure ! »

(Demander aux enfants de se tortiller pour tester les 3 chaises)

La deuxième chaise était moins haute, elle essaya de s’y assoir, mais « oh  non, non, non, dis boucle d’or, je 403474_150185921776467_148363421958717_175723_1939064907_nm’enfonce! Cette chaise est trop molle ».

La dernière chaise était juste à sa taille, et boucle d’or s’y assit et gigota tant pour y trouver son confort, que la chaise cassa !

Boucle d’or vit alors posées sur la table 3 bols de soupe.

Le premier  bol était très grand, et la soupe fumait, elle essaya de souffler, souffler, souffler, mais la soupe était encore trop chaude.

(L’enfant est invité à tenir un grand bol, et à souffler 3 fois dessus)

Le deuxième bol était d’une taille moyenne, la soupe fumait, elle essaya de souffler, souffler, mais la soupe était encore trop chaude.

(L’enfant est invité à tenir un grand bol, et à souffler 2 fois dessus)

Le troisième bol était petit, la soupe fumait encore un peu, boucle d’or souffla une fois, et elle but toute la soupe !

(L’enfant est invité à tenir un grand bol, et à souffler 1fois dessus et faire semblant de boire tout le bol)

Boucle d’or se senti fatiguée alors elle chercha la chambre où elle trouva 3 lits.

Le premier lit était très haut, elle essaya de grimper dessus, mais oh non, il était trop dure pour être confortable.

Le deuxième lit était un peu moins haut, boucle d’or grimpa dessus, mais oh non il était bien trop mou pour être confortable !

Le troisième lit était juste à sa taille, elle y grimpa et il était tout à fait confortable, et là, Boucle d’or s’endormit.

On peut alors imiter Boucle d’or se tortiller sur chacun des 3 lits pour essayer d’y faire sa place

KONICA MINOLTA DIGITAL CAMERA

KONICA MINOLTA DIGITAL CAMERA

Quand les 3 ours qui habitaient cette maison, le papa ours, la maman ours et petit ourson, rentrèrent de leur promenade,  papa ours dit d’une grosse voix « quelqu’un c’est assis sur ma chaise ! », maman dit d’une voix douce « quelqu’un c’est assis sur ma chaise aussi » et petit ourson dit « oh ! Quelqu’un a cassé ma chaise ! »

Puis papa ours s’approcha de la table et dit  d’une grosse voix «quelqu’un a gouté à ma soupe ! », puis maman s’approcha  et dit de sa voix douce « quelqu’un a gouté aussi à ma soupe », et petit ourson regarda son bol et dit «  oh ! Quelqu’un a bu toute ma soupe ! »

Puis papa ours se dirigea vers la chambre et dit de sa grosse voix « quelqu’un est monté sur mon lit ! », maman ours s’approcha et dit de sa voix douce « quelqu’un est monté sur mon lit aussi ! » et petit ourson s’étonna  « oh quelqu’un dort dans mon lit ! »

A ces mots, Boucle d’or s’éveilla, elle fut un peu effrayée de voir les 3 ours qui la regardaient, alors elle se sauva, et comme par magie, retrouva le chemin de sa maison et retrouva ses parents.

Comment tu te sens après cette histoire ?

photo de la forêt Cari=olineJe vous invite, parents ou sophrologues, à raconter ce conte en jouant à être la petite Boucle d’or, et à inviter vos enfants à mimer les différentes étapes de l’histoire avec eux.

Naturellement les enfants jouent tel des acteurs les histoires qui leur ont plu, alors pourquoi pas des contes qui peuvent introduire des sensations des mouvements du corps, et d’interroger l’enfant sur ce qu’il ressent à cet instant ?

Expérimentons la vivance dans le conte !

 

le remboursement des séances de sophrologie et de psychothérapie

Un certain nombre de mutuelles commencent à comprendre qu’il vaut mieux rembourser des séances de psychothérapi1353241079427e ou de sophrologie dans un but prophylactique* plutôt que de s’engager  dans des frais important si rien n’a été fait en amont .

Parfois, elles le font en surfant sur la vague du bien-être et de l’écoute de soi plutôt à la mode aujourd’hui, mais le but commercial c’est bien l’économie à long terme dont il est question. Et tant mieux si cette approche commerciale leur permet d’avoir de nouveaux clients !

En effet, lorsque j’interviens  auprès d’un individu traversant un moment critique dans son existence, je lui permets de poser des mots sur son mal-être si nous sommes en psychothérapie, ou je l’aide à lâcher prise si nous sommes en sophrologie, afin d’évacuer les tensions psychiques ou physiologiques et ainsi, lui permettre  de se prendre en main, d’être acteur de son mieux-être et par là de limiter sa prise de médicaments,  voire même de ne pas devenir dépendant du système de santé,  jusqu’à éviter parfois, des hospitalisations couteuses dans certain cas…

Je ne veux pas dire par là que je suis anti allopathie**, loin de moi cette idée, mais je constate que le lobbying des laboratoires pharmaceutiques agit parfois à l’opposé de l’intérêt de la communauté  (la sécurité sociale) en imposant une pratique allopathique systématique pour leur plus grand profit, quand parfois, des pratiques de médecine alternative, de relaxation ou de psychothérapie ont des effets à plus long terme et à des coûts au final bien plus modérés ;

La santé est un bien précieux (voir article sur la santé), et des études ont montrées que les personnes se prenant en charge, en étant actrice de leur santé, avaient  une meilleur réponse au traitement même lourds, qu’elles avaient de plus grandes chances de guérison, et consommaient au final bien moins de médicaments, donc faisaient faire des économie à la société.

La médecine moderne a fractionné l’être humain en différents organes, fonctionnements, afin de se spécialiser dans sourires_des traitements toujours plus pointus sur ces fractions d’être humain en oubliant souvent que derrière ce rein, cette rate, ou ce cœur défaillant il y a une personne avec son histoire, sa vie quotidienne, ses peurs, ses joies…

Le docteur Thierry Janssen chirurgien devenu psychothérapeute évoque  très bien cet aspect en disant : « Les médecines non conventionnelles, pour la plupart très anciennes, ont gardé une vision d’ensemble. Pour elles, l’être humain est un être multidimensionnel que l’on ne peut pas soigner comme un corps-objet, mais bien comme un corps-sujet : un corps qui pense, qui éprouve des émotions, qui a une psychologie, qui est en lien avec les autres et qui est influencé par l’environnement dans lequel il vit. »

La pensée humaine est puissante et peu générer à elle seule des dysfonctionnements psychiques mais également physiologiques, et inversement d’ailleurs « La science commence à le prouver : nous sommes des individus indivisibles ; notre corps fait des expériences qui génèrent des émotions, qui deviennent des pensées ; et, en retour, nos pensées font naître des émotions, qui ont des répercussions sur le fonctionnement neurologique, hormonal et immunitaire de notre corps. » ( dixit Dr Jensen).

Dans un futur proche, la nécessité économique va nous obliger à faire appel à des traitements plus respectueux de l’humain et moins couteuse pour la société. C’est un fait.

Selon Andrew Weill, qui promeut aux USA, les médecines alternatives, il n’y aurait en fait que 10 à 20 % des problèmes de santé qui résulteraient d’une médecine allopathique, les autres pathologies pourraient être traitées différemment en respectant le corps, l’histoire du patient, sa volonté d’être acteur de son traitement etc…

Cela laisse rêveur…

Mais je n’entends pas du tout ici vouloir dénigrer la médecine allopathique. Les médecins généralistes sont souvent en première ligne pour détecter les pathologies lourdes des patients, et souvent ils sont l’interlocuteur privilégié pour entendre la plainte, ils connaissent souvent leur patient depuis de nombreuses années, alors il n’est pas question ici de leur retirer ce mérite.

Simplement de leur suggérer qu’ils ne sont pas les seuls à pouvoir aider leurs patients, et qu’un partage de compétence peut aider leurs patients à aller vers un mieux-être global. Quand on sait que près de 70% des pathologies qu’ils rencontrent sont en lien avec le stress, il serait bon que la population apprenne à se prendre en charge différemment et comprenne comment se respecter, respecter les signes de son corps afin de limiter ces pathologies. Le traitement de ces pathologies ne passe pas seulement par la prescription d’anxiolytiques, d’antidépresseurs ou de somnifères mais peut passer par la prise de conscience de ce qui provoque ce dysfonctionnement, par la relaxation, par des exercices de respiration, de sophrologie. Changer sa façon d’appréhender sa vie, peut avoir des répercussions bénéfiques sur sa santé.

Certaines mutuelles commencent à le comprendre, certains médecins également. La prévention vaut mieux que la maladie. La coopération entre ces différentes approches apporte un plus aux patients et à la société.

En attendant voici une liste non exhaustive des mutuelles qui proposent un remboursement des séances de sophrologie :

http://www.syndicat-sophrologues.fr/media/tableau_mutuelles_qui_remboursent__sophro__083446000_1546_01052015.pdf

de plus un chèque  santé existe maintenant  pour la prise en charge de la sophrologie :

http://www.syndicat-sophrologues.fr/sophrologie/actualites/201-nouveau-partenariat-cheque-sante.html

je ne connais pas la liste des mutuelles qui prennent en charge la psychothérapie, mais il suffit d’appeler votre mutuelle avec votre n° de contrat pour vous en assurer.

*prophylaxie : ensemble de moyens médicaux mis en œuvre pour empêcher l’apparition, l’aggravation ou l’extension des maladies.
**allopathie : Mode habituel de traitement médical qui combat la maladie en utilisant des médicaments qui ont un effet opposé aux phénomènes pathologiques. (larousse)

 


 

4 Français sur 10 séduits par les autres médecines
39 % des Français ont déjà eu recours aux médecines non conventionnelles –
principalement l’homéopathie (27 %) et l’ostéopathie (15 %) –,
avec une prévalence des femmes (47 %, contre 31 % des hommes).
 Parmi eux, 39 % souhaitent prendre moins de médicaments,
28 % revendiquent l’efficacité de ces médecines,
19 % se sentent en confiance avec le praticien,
9 % se sentent mieux écoutés que dans le cadre de la médecine traditionnelle.
78 % des Français considèrent que ces médecines complémentaires sont efficaces en prévention,
77 %, pour traiter des maladies liées au stress,
55 %, en accompagnement du traitement des maladies lourdes.
Source : « Les Français et les médecines naturelles », sondage Ifop, novembre 2007.

la sophrologie

Qu’est-ce que c’est?

La sophrologie est un ensemble de pratiques de relaxations corporelles qui peuvent être dynamique (le corps est sollicité dans le mouvement afin de mieux le ressentir) ou statique (le corps est immobile et l’on sollicite plutôt le mental).

Le but  de la sophrologie est de mobiliser nos ressources, nos capacités physiques et mentales afin d’affronter le monde qui nous entoure en toute confiance avec soi-même.

Pour cela, la sophrologie s’appuie sur 3 grands principes :

 

spring-flower-289844_640* le principe d’action positive : c’est-à-dire, toute action positive sur soi-même, entraîne une pensée positive ainsi qu’un comportement positif, qui entraînera à son tour une action positive…

En fait très souvent nous sommes plutôt dans un principe plus négatif que positif : nous remarquons plutôt les trains en retard que tous ceux qui arrivent à l’heure ! Nous remarquons le grain de poussière alors que tout autour le calme pourrait régner.  La sophrologie ne prétend pas avoir la solution pour ôter le négatif de tout ce qui nous entoure, mais plutôt de le mettre entre parenthèses,  et vivre pleinement l’instant présent dans tout ce qu’il peut nous apporter comme sensations agréables et positives. Par exemple : dans un embouteillage, coincé dans sa voiture, plutôt que de s’énerver, se stresser par ce contretemps, profiter pour respirer avec ampleur, observer le paysage, écouter de la musique avec plaisir… prendre ce temps qui m’est donné, même si je ne l’avais pas désiré, et en profiter pour m’apporter un instant de bien-être.

 *le principe du schéma corporel  comme une réalité vécue : c’est-à-dire, apprendre à se addie 126ddx_pereprésenter son propre corps, dans toutes les sensations qu’il nous donne, quelle qu’elles soient.  Bien souvent on ne prend conscience de l’existence de notre corps, que lorsqu’il y a douleur, maladie. Or notre corps est une ressource incroyable de bien-être, si l’on sait l’écouter, le sentir tel qu’il est avec ses qualités et ses défauts. Aller à la rencontre de son schéma corporel c’est aussi comprendre comment il nous « parle », en particulier quand il nous envoie des signes, comme la fatigue, comme la douleur, pour nous informer que quelque chose dysfonctionne en nous.  Apprendre à être à l’écoute des signes  de notre corps peut nous permettre de souffler quand il le faut, de mieux respecter ses propre rythmes, de mieux dormir, de mieux lutter contre l’anxiété, l’angoisse, le stress…

 

*et enfin le principe de réalité objective : c’est-à-dire s’adapter à ce que l’on est, ici et maintenant, prendre en compte notre spécificité du jour, afin de toujours se respecter soi-même. Par exemple, pour le sophrologue, proposer des postures qui s’adaptent à la personne qu’il a en face de lui, si la personne ne peut pas lever les bras pour un exercice, proposer un exercice qui lui conviendra plus spécifiquement. C’est du bon sens !

 

Comment ça se passe ? 

Les séances de sophrologie se déroulent soit en individuelles soit en groupe.

 

En individuel, le sophrologue va prendre le temps de savoir ce qui fait la demande du client, pourquoi il est là. Je vais chercher à vous connaitre un peu mieux, savoir quels sont vos rythmes de vie, si vous avez des difficultés d’ordre médicale, si vous avez un bon sommeil ou non… puis, je vais vous proposer quelques exercices de découverte afin de vous immerger très vite dans la sophrologie, car une des lois de la sophrologie c’est qu’elle doit se vivre ! On parle de vivance.

avenue-207247_640Une séance finie toujours par un partage sur les sensations vécues. Cela permet de prendre conscience de cette vivance, mais aussi me permet d’adapter les exercices futurs à la personne. J’établirai alors un  programme de séances progressives (en général  5 à 7 suffisent, mais parfois cela peut être plus long selon les personnes et selon les difficultés à traiter). Sachant que la 2ème loi de la sophrologie c’est la répétition ! Pour que cela fonctionne, il est indispensable de refaire les exercices régulièrement chez soi afin de se les approprier.  Pas de panique ! Je vous donnerai des consignes simples, de même, vous pourrez amener une clé USB afin que je vous donne les enregistrements de certains exercices si nécessaire.

 

La sophrologie en groupe est un peu différente, elle peut se faire sur un thème précis (lutte contre le stress, sommeil et vigilance, confiance en soi…) ou bien sur une idée de bien-être et d’écoute de soi. Les séances commenceront toujours par « une météo du jour », c’est-à-dire un questionnement sur les ressentis du jour. Puis nous poursuivrons par une explication de la séance, et nous mettrons en pratique tous ensemble. Enfin, nous terminerons la séance par un partage  oral sur cette séance, comment chacun a vécu cette séance sur le plan du ressenti. Ces dialogues se font en toute bienveillance envers chaque membre du groupe.

Comme pour les séances individuelles, la répétition est le mot d’ordre de la sophrologie. Pour les groupes à thèmes, 5 à 7 séances semblent raisonnable. Pour les séances bien-être, on peut en envisager plus, réparties sur l’année.

 

la santé

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La santé est un bien précieux qui prend en compte la santé physique (confort de vie sans maladie ou  sans douleur) mais également mentale (confort psychologique) et sociale (sécurité de vie).

Les progrès de la médecine ont apporté un grand nombre de réponses positives à la santé physique, tant par la recherche de médicaments toujours plus performant, que par la prise en charge de pathologies de plus en plus tôt afin d’éviter la dégradation physiologique du corps. Les progrès en imagerie ont également permis d’être plus vigilent et d’agir en prévention.

La santé c’est aussi une démarche volontaire, une action que l’on mène sur soi-même. C’est-à-dire prendre soin de soi en mangeant mieux, en bougeant mieux, en étant attentifs aux besoins de son corps, en prenant en comptes les signes de son corps (fatigue, stress, agacement) , en étant attentif à son environnement  relationnel, professionnel,  (privilégier les relations amicales positives, se préserver des relations toxiques, trouver le juste équilibre entre ses besoins économiques et ses besoins physiologiques…) mais  aussi attention portée à son habitation se préserver un coin de repos de décompression sans écran  afin de pouvoir se ressourcer, aménager son lieu d’habitation avec harmonie pour s’y sentir bien.

Bien souvent nous ne nous rendons compte de tout cela que par le manque : Si nous avons mal au dos, notre dos prend toute sa place dans notre conscience, mais d’un point de vu douloureux. Si nous sommes stressés, notre corps se détraque, l’appétit, le sommeil, la vigilance sont mis à rude épreuve et nous prenons conscience d’un manque de sommeil, d’une fatigue accumulée, de réactions excessives…

Ces manques vont nous aider à prendre conscience que nous avons un chemin différent à parcourir, que nous avons le choix, qu’il ne tiens qu’à nous de changer. Parfois cela se fait dans la douleur (maladie, burn out, dépression, accidents, divorce…) parfois nous avons la chance de réagir avant la chute… l’important ce n’est pas de chercher à se culpabiliser de l’avoir fait si tard, l’important c’est de prendre conscience que nous avons besoin de changer quelque chose à notre vie afin de revenir à un équilibre écologique pour soi-même,  revenir à une homéostasie.

 

Comment ?

Il existe différentes voies d’accès à ce retour, j’en pratique 2 : la psychothérapie et la sophrologie. Les deux  peuvent être utilisées séparément, ou imbriquées l’une dans l’autre, en fonction de la demande de chacun.

La psychothérapie va vous permettre d’en apprendre sur le pourquoi. Chercher dans votre histoire, dans votre vécu les liens qui vous ont amené à cet état de dérèglement dans votre vie. Il faut parfois du temps pour trouver les réponses, pour s’autoriser à changer. Il faut aussi du courage pour partir à la rencontre de soi, de son inconscient, de ces motivations parfois contradictoires que l’on porte en soi. Mais quelle victoire ensuite de se connaitre mieux, de se comprendre mieux, et d’éviter les écueils désormais sur lesquels on buttait sans cesse auparavant. La psychothérapie demande un engagement avec soi-même avec le thérapeute et avec le temps. Il est souvent utile de prendre son temps afin de laisser venir à soi les prises de conscience.

La sophrologie, quant à elle, ne cherche pas la cause du mal-être, elle cherche à vous donner des outils afin d’être plus à l’écoute de vous-même, de retrouver un équilibre entre votre physique et votre mental. La sophrologie demande de l’entrainement, un engagement avec soi-même afin d’intégrer les techniques proposées pour pouvoir les réutiliser quand le besoin s’en fait sentir. La sophrologie peut aider l’individu à retrouver des sensations de perception de soi dans le bien-être, dans la douceur avec soi-même.

 

journée portes ouvertes de la sophrologie

le  samedi 19 septembre 2015

la FEPS (Fédération des Ecoles Professionnelles de Sophrologie)

organise ses Premières journées portes ouvertes de la Sophrologie

Les sophrologues issus des écoles et associations
membres de la FEPS vous ouvrent leurs portes.
Une occasion unique de découvrir la Sophrologie.

N’attendez plus, contactez
le professionnel proche de chez vous :
www.mon-sophrologue.info

pour ma part:

le cabinet sera ouvert de 9h à 12h et de 15h à 18 h

pour 4 ateliers de découverte

1/  le matin de 9h à 10h30 atelier Sophrologie et bien-être

2/  le matin de 10h30 à 12h atelier Sophrologie et stress

3/ l’après midi de 15h à 16h30 atelier sophrologie et troubles du sommeil

4/ l’après midi de 16h30 à 18h atelier sophrologie et troubles de l’audition/acouphènes

inscrivez vous par tel au : 06 72 98 93 11

en laissant vos coordonnées, et l’atelier auquel vous désirez vous inscrire

ainsi qu’un tel pour être rappelé.

Relaxation sophrologie avec les enfants

Exercice respiratoire

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Je fais comme si dans mes mains, j’avais un bol de chocolat. Mais dans mon bol mon chocolat est bien trop chaud, alors j’inspire avec mon ventre, et je souffle sur mon bol, doucement pour bien le refroidir, je recommence plusieurs fois, et quand mon bol est à bonne température je bois tout mon chocolat !

Qu’est ce que la relaxation ?

Relaxation pour quoi faire ?

La relaxation ne doit pas être une corvée, elle ne doit pas prendre des heures dans la journée, elle n’est pas forcément passive…

Alors qu’est-ce que c’est ?

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La relaxation en sophrologie peut se présenter sous deux formes : dynamique ou statique.

Dans la relaxation dynamique nous sommes debout ou assis, et nous sommes dans la prise de conscience de notre corps par le mouvement de celui-ci. Nous mettons en mouvement par exemple le bras gauche, en synchronisant ce mouvement avec notre respiration, tout le reste du corps étant immobile et détendu, et nous essayons de percevoir par tous nos sens,ce qui bouge en nous, que ce soit la perception d’une chaleur dans ce bras qui n’existe pas ailleurs dans notre corps, que ce soit la sensation que ce bras est plus présent par rapport à l’autre….

Cette forme de relaxation dynamique permet d’être présent à soi-même, de se rendre compte que nous habitons notre corps, qu’il est présent et que nous pouvons le percevoir par différent canaux : l’entendre bouger, le sentir bouger à travers nos muscles et nos os, sentir des picotements, de la chaleur ou autre quand nous le bougeons…etc.  Et ainsi accéder à la conscience de notre schéma corporel en toute bienveillance.

 

 

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La relaxation statique en sophrologie est souvent associée à des visualisations induites par le sophrologue qui vous invite à, par exemple, évoquer un paysage apaisant, un moment ressource pour vous, qui va vous aider à vous détendre, à trouver un moyen accessible à tout moment par vous, pour se détendre.

Par exemple, sur la chaise du dentiste, quand nous voulons nous détendre, avec un peu d’entrainement, nous serons capable de fermer les yeux et d’évoquer ce bord de mer que nous aimons tant, afin de nous aider à retrouver notre calme et nous détendre pendant un moment qui sans cela serai un moment de stress.

Quand utiliser cet outil ?

J’ai envie de dire, tout le temps ! C’est-à-dire chaque fois que j’ai un moment où je pourrais stresser, où je pourrais m’énerver, je peux utiliser un exercice de relaxation dynamique ou statique.

Par exemple, dans le train bondé aux heures de pointes, le train s’arrête en pleine voie, il ne bouge plus et la tension monte, les gens râlent autour de vous… à ce moment-là, vous n’avez aucun moyen ni de faire bouger le train, ni de savoir ce qui se passe, ni de savoir combien de temps cela va durer… si vous vous énervez, cela ne changera rien… alors autant se détendre, prendre le temps de se recentrer sur soi, et respirer , s’apaiser avec une image détente, ou mettre en tension /détension quelques parties de son corps…

Luc Audouin ( fondateur du CEAS Paris   ) a une formule qui me parle bien pour ces moment-là : « attente = détente », ce qui signifie, quand j’ai un instant d’attente, que cela soit imprévu ou non, je peux mettre ce temps-là à profit pour me détendre :  dans la queue d’un distributeur de billets, dans la queue à la caisse d’un super marché, ou d’un péage d’autoroute, dans les temps de transport….etc.

La relaxation ne marche pas sans la respiration.

En effet, notre souffle contribue à accentuer ou non notre état de détente ou de stress.  Plus notre souffle se situe haut dans notre cage thoracique et plus nous avons besoin de prendre de nombreuses inspirations pour oxygéner notre corps et en particulier notre cerveau, ce qui induit des battements cardiaque rapides et un sentiment de stress important.  A l’inverse, plus nous avons une respiration basse, emplissant la totalité de nos poumons d’air, en gonflant notre ventre à l’inspiration et en rentrant le ventre à l’expire, plus notre cœur ralenti son rythme, et notre esprit s’apaise.

 

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Faites l’expérience vous-même : posez vos mains sur votre ventre, et vider vos poumons en appuyant un peu sur votre ventre pour vider celui-ci de tout l’air, puis inspirer en gonflant votre ventre comme un ballon, qui va pousser vos mains vers l’extérieur… recommencer plusieurs fois, jusqu’à sentir votre corps se détendre, votre cœur s’apaiser…

Puis posez vos main sur votre torse, très haut, sous vos clavicules, et inspirer comme pour un sanglot, par petit bouffées rapides, plusieurs fois, vous sentez alors votre cœur accélérer son rythme, et parfois même vous pouvez avoir la tête qui tourne… vous avez expérimenté la respiration sous claviculaire, que l’on peut ressentir dans un état de stress. Et qui parfois peu conduire à des malaises.

Comprendre comment notre corps fonctionne et quels sont ses besoins peut nous aider à retrouver un état d’homéostasie, d’équilibre, pour vivre en harmonie avec soi-même. Et ça c’est faisable tous les jours, tout le temps.

Les émotions

Les émotions sont des expériences, des réactions psychologiques et physiques à une situation qui peut être interne et /ou environnementale.

Emotion vient du latin motio qui signifie  action de se mouvoir, mouvement.

Les émotions sont une suite de réactions en chaîne dans notre système nerveux central, qui entraîne des réactions physiologiques de notre système nerveux autonome.

Autrement dit, lors d’une émotion, nos sens sont averti en premier lieu (la vue, l’odorat, le gout, l’ouïe, le toucher) cette information est transmise à notre cerveau qui va déclencher une réaction biochimique en chaîne  afin de nous préserver d’un éventuel danger.

Car à l’origine, nos émotions ont pour fonction de nous protéger.

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Il existe 6 émotions primaires :
La joie
La colère
Le dégoût
La peur
La tristesse
Et la surprise.

Ces émotions ne sont pas l’apanage des êtres humains, mais sont partagées par bon nombres d’animaux sur terre.

Quand nous affirmons que les émotions sont faites pour nous protéger, il faut se replacer dans le contexte de nos ancêtres les hommes préhistoriques qui devaient affronter toutes sortes de dangers dans leur environnement. Mais nous allons voir que finalement nous avons gardé bon nombres de ces émotions salvatrices même encore aujourd’hui.

  • Si l’on considère la peur elle a pour fonction de nous avertir d’un danger. Notre vision devient alors plus précise, nos réflexes sont plus vifs, nos muscles sont irrigués et prêts à fonctionner, et nous sommes moins sensible à la douleur tout cela, donc pour nous préparer à affronter le danger  ou à le fuir.
  • Le dégoût, quant à lui, nous permet de ne pas manger des aliments qui pourraient être dangereux voire toxiques pour nous, par exemple s’il ne sent pas bon…
  • La surprise met tous nos sens en éveil, afin de fuir s’il le faut un danger.
  • La colère me permet de me surpasser en rassemblant toute mon énergie pour dépasser un obstacle qui me résiste.
  • La joie et la tristesse, me permettent de me rapprocher des autres, dans la joie, je partage une convivialité qui me permet de ne pas être seul, dans la tristesse, je permets la compassion et le rapprochement des autres qui veulent me consoler.

Nos émotions sont situées dans le système limbique de notre cerveau. Il est constitué de plusieurs zones : thalamus, les 2 amygdales cérébrales, l’hippocampe, et l’hypothalamus, qui vont recevoir l’information et l’orienter vers une réaction en chaîne biochimique et physiologique.

  • En premier lieu nos sens perçoivent un danger

>L’information arrive en un centième de milliseconde dans notre système limbique, ici dans le thalamus qui va d’une part renvoyer l’information dans la zone spécifique du cortex propre à chacun de nos sens,

>Mais aussi dans les amygdales cérébrales en lien avec l’hippocampe chargé de traiter l’information sur le plan de la mémoire (est ce que j’ai déjà vécu cette situation)

>Et  également  dans l’hypothalamus qui va donner des ordres à notre système nerveux autonome qui commande tous nos réflexes vitaux (battement du cœur, respiration, digestion…)

> Ces informations sont alors transmises aux glandes surrénales qui vont envoyer dans le sang une grosse décharge d’adrénaline. Cette dernière est un flot d’énergie qui va accélérer le rythme cardiaque, mais aussi la respiration. Cela a pour conséquence d’alimenter les muscles en oxygène afin qu’ils soient le plus efficace possible, en particulier nos jambes (c’est pour cela que l’on pâli, car nos jambes sont mieux irriguées que notre visage), notre digestion se met en pause,  notre foie envoie du sucre dans le sang afin d’alimenter l’effort et nous nous préparons à refroidir notre corps des efforts qu’il va produire, alors nous transpirons.

  • Si le danger est minime, ou insignifiant finalement, le corps retrouve son calme, et tout rentre dans l’ordre.
  • Si le danger est réel, nous attaquons, ou nous fuyons.

Le stress

Le stress est une émotion exagérée et hors de propos provoquée par notre cerveau qui provoque les mêmes réactions en chaîne sur les plans biochimiques et physiologiques, sans qu’il n’y ait de réponses physiques de notre corps. Nous sommes programmés pour attaquer ou pour fuir, et là nous ne bougeons pas.

Pour mieux comprendre  ce qui se passe sur le plan biochimique dans notre corps :

> Quand nous subissons un stress, inconsciemment nous accélérons notre respiration (hyperventilation), ce qui va conduire à une  diminution de la concentration du gaz carbonique dans le sang (hypocapnie), et donc à un déséquilibre acido-basique du plasma sanguin qui prend un PH basique (alcalose respiratoire). Cela entraîne une vasoconstriction générale indispensable pour la préparation à l’effort physique, MAIS complètement inadapté si l’on ne bouge pas !

C’est alors que cette vasoconstriction générale va entraîner des conséquences sur :

  • le cerveau (difficulté de concentration),
  • le cœur (tachycardie),
  • les muscles (tension voire raideur musculaire jusqu’à la fibromyalgie),
  • le tube digestif (maux de ventre, diarrhée…)

Sans y remédier, le stress devient chronique, et entraîne des complications qui pourront entraîner des dépendances médicamenteuses, des addictions, des insomnies chroniques, dépression, envie d’en finir…

Comment y remédier ?

La prise de conscience de son état physique et mental sont les premiers pas vers la solution. Ensuite, il est important d’identifier la source du stress (travail, famille,…)

Il va sans dire, qu’il est alors important de se faire suivre auprès d’un médecin, d’un psychologue, d’un sophrologue… afin de remédier au mal en se prenant en charge.

Il me semble important de signaler qu’un médicament psychotrope, quelle que soit son efficacité, ne saura résoudre à lui seul le problème. Si je me casse une jambe, j’aurai beau marcher avec des béquilles, ce ne sont pas elles qui guériront ma jambe, mais bien les soins que j’y apporterai. Le médicament psychotrope c’est la même chose. Considérons-le comme une béquille, mais agissons pour pouvoir s’en passer le plus tôt possible.

En psychothérapie, le travail consistera à identifier les causes de ce stress, à en chercher les origines, et à comprendre pourquoi  le sujet succombe à ce stress plutôt que de se préserver, qu’est ce qui dans l’histoire du sujet, peut expliquer cet état.

En sophrologie le travail consistera à pratiquer des exercices pour apprendre à évacuer les tensions accumulées, à travailler sa respiration, à comprendre comment se préserver, s’écouter, et limiter le stress.