la santé

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La santé est un bien précieux qui prend en compte la santé physique (confort de vie sans maladie ou  sans douleur) mais également mentale (confort psychologique) et sociale (sécurité de vie).

Les progrès de la médecine ont apporté un grand nombre de réponses positives à la santé physique, tant par la recherche de médicaments toujours plus performant, que par la prise en charge de pathologies de plus en plus tôt afin d’éviter la dégradation physiologique du corps. Les progrès en imagerie ont également permis d’être plus vigilent et d’agir en prévention.

La santé c’est aussi une démarche volontaire, une action que l’on mène sur soi-même. C’est-à-dire prendre soin de soi en mangeant mieux, en bougeant mieux, en étant attentifs aux besoins de son corps, en prenant en comptes les signes de son corps (fatigue, stress, agacement) , en étant attentif à son environnement  relationnel, professionnel,  (privilégier les relations amicales positives, se préserver des relations toxiques, trouver le juste équilibre entre ses besoins économiques et ses besoins physiologiques…) mais  aussi attention portée à son habitation se préserver un coin de repos de décompression sans écran  afin de pouvoir se ressourcer, aménager son lieu d’habitation avec harmonie pour s’y sentir bien.

Bien souvent nous ne nous rendons compte de tout cela que par le manque : Si nous avons mal au dos, notre dos prend toute sa place dans notre conscience, mais d’un point de vu douloureux. Si nous sommes stressés, notre corps se détraque, l’appétit, le sommeil, la vigilance sont mis à rude épreuve et nous prenons conscience d’un manque de sommeil, d’une fatigue accumulée, de réactions excessives…

Ces manques vont nous aider à prendre conscience que nous avons un chemin différent à parcourir, que nous avons le choix, qu’il ne tiens qu’à nous de changer. Parfois cela se fait dans la douleur (maladie, burn out, dépression, accidents, divorce…) parfois nous avons la chance de réagir avant la chute… l’important ce n’est pas de chercher à se culpabiliser de l’avoir fait si tard, l’important c’est de prendre conscience que nous avons besoin de changer quelque chose à notre vie afin de revenir à un équilibre écologique pour soi-même,  revenir à une homéostasie.

 

Comment ?

Il existe différentes voies d’accès à ce retour, j’en pratique 2 : la psychothérapie et la sophrologie. Les deux  peuvent être utilisées séparément, ou imbriquées l’une dans l’autre, en fonction de la demande de chacun.

La psychothérapie va vous permettre d’en apprendre sur le pourquoi. Chercher dans votre histoire, dans votre vécu les liens qui vous ont amené à cet état de dérèglement dans votre vie. Il faut parfois du temps pour trouver les réponses, pour s’autoriser à changer. Il faut aussi du courage pour partir à la rencontre de soi, de son inconscient, de ces motivations parfois contradictoires que l’on porte en soi. Mais quelle victoire ensuite de se connaitre mieux, de se comprendre mieux, et d’éviter les écueils désormais sur lesquels on buttait sans cesse auparavant. La psychothérapie demande un engagement avec soi-même avec le thérapeute et avec le temps. Il est souvent utile de prendre son temps afin de laisser venir à soi les prises de conscience.

La sophrologie, quant à elle, ne cherche pas la cause du mal-être, elle cherche à vous donner des outils afin d’être plus à l’écoute de vous-même, de retrouver un équilibre entre votre physique et votre mental. La sophrologie demande de l’entrainement, un engagement avec soi-même afin d’intégrer les techniques proposées pour pouvoir les réutiliser quand le besoin s’en fait sentir. La sophrologie peut aider l’individu à retrouver des sensations de perception de soi dans le bien-être, dans la douceur avec soi-même.