s’offrir un cadeau de fin d’année

hiver chez odile B 2La période des fêtes est pour certain une grosse période de stress, où il faut à la fois lutter contre le froid ambiant, notre corps doit s’adapter aux températures qui baissent, aux jours de plus en plus courts, et cela demande pas mal d’énergie. Parfois s’y ajoute, la nécessité de préparer des réunions de famille dont on sait qu’elles seront houleuses, ou difficilement supportables. la famille est parfois le lieu de conflits larvés, de non-dit pesants, etc. A tout cela il faut ajouter la pression médiatique de faire comme si tout allait bien , l’injonction  des réjouissances et du bonheur sur commande.

Si bien que l’on prends sur soi, que l’on fait comme si, que l’on ronge son frein, et notre corps éprouvé, déjà par la fatigue de fin d’année et la lutte naturelle contre l’hiver,  dit alors STOP, plus ou moins violemment.

 

Qui n’a pas éprouvé , dans ces moments là, des douleurs lombaires ou cervicales?

Qui n’a pas attrapé une gastro ou une grippe, ou toute sorte de virus qui traînent?

Qui ne c’est pas senti soudain déprimé, ou atone sans énergie aucune?

Qui n’a pas eu l’envie d’hiberner et de se réveiller une fois que tout ça serait passé?

 

C’est là que la sophrologie peut vous aider!

hiver chez odile B

Je ne vient pas prétendre que la sophrologie va réchauffer l’atmosphère, désactiver tous les virus et réconcilier les familles! les miracles de Noël ça n’existe que dans les films 😉

Non, je vous invite simplement à vous offrir une parenthèse de douceur envers vous même, un espace de bienveillance, pour lâcher prise, et vous aider à mieux vous respecter.

Comprendre aussi que nous sommes impuissant à changer ce qui est immuable, ce qui ne dépends pas de nous, mais que nous pouvons changer notre regard sur le monde, changer notre perception de ce que nous sommes dans ce monde. et ça, avec la sophrologie, c’est possible!

Alors réjouissons nous!

Je vous invite donc à vous autoriser votre parenthèse de bien-être! Réservez dès maintenant!

 

Et peut être que vous pouvez offrir ce cadeau à quelqu’un que vous aimez et pour qui vous pensez que cela fera du bien.

A bientôt au cabinet!

hivers chez Odile B 4

crédit photo Odile Bailloeul

La sophrologie un recours aux risques cardiovasculaires dues au stress

stress

Le stress qu’est-ce que c’est ???
Le stress est la réponse archaïque  et disproportionnée de notre organisme, face à une demande d’adaptation  imprévue à notre environnement.

A l’origine, lorsque nous étions encore des hommes des cavernes, nous vivions dans un monde plein de dangers et nous étions très vulnérables à ce monde. Notre système limbique (notre cerveau archaïque) était adapté à ce monde en créant une vigilance accrue aux dangers et en adaptant les réponses en cascade du corps à ces dangers : accélération du rythme cardiaque, contractions musculaires et accélération de la respiration, afin d’attaquer la bête sauvage ou si non, de prendre la fuite, hyper coagulation sanguine pour parer à une blessure éventuelle etc…

tigre à dent de sabreMais  aujourd’hui nous ne rencontrons plus de tigres à dents de sabre à chaque coin de rue, alors que notre réaction physiologique à un stress reste la même !

Or le danger aujourd’hui vient justement de ces réactions disproportionnées de notre organisme, car le stress est la 3ème cause d’accident cardiovasculaire (après le tabagisme et le cholestérol).

Des études récentes montrent que le stress agit directement sur une aire de notre cerveau primitif : l’amygdale.  Plusieurs circuits sensoriels arrivent à nos amygdales afin de l’informer des dangers potentiels qui nous entourent. Autrement dit, l’amygdale est notre vigie ! C’est elle qui va envoyer des alertes à notre corps pour faire face aux dangers : en augmentant la fréquence cardiaque, en accélérant la respiration, etc. pour permettre des réactions de survie.

Ainsi, notre corps réagit toujours de la même façon face à un stress la peurmême si nous n’habitons plus les cavernes et si nous n’avons plus à nous battre face à des bêtes sauvages.

Si le stress perdure, se répète trop souvent,  s’il devient chronique, toute cette cascade de réactions devient une menace pour le cœur et pour le corps.

Jean-Pierre HOUPPE cardiologue formé à la sophrologie, préconise face aux risques d’infarctus et autres risques cardio vasculaire, différentes pratiques : le  sport doux mais régulier, la sophrologie afin de trouver des outils pour diminuer l’impact du stress sur le mental et le corps, et  la psychothérapie afin de réguler les impacts psychiques du stress.

Que peut apporter la sophrologie  ?
La sophrologie va permettre au patient d’identifier dans son corps les  tensions dues au stress, et ainsi facebook_1451377975866avec des outils simples et utilisables n’ importe où et n’importe quand, réguler sa réponse physiologique au stress.

Apprendre à repérer sa posture, ses différentes tensions musculaires et mentales, son rythme respiratoire, ses battements cardiaques sont les premiers éléments du travail sophrologique : prendre conscience de l’état général dans lequel nous sommes.

Puis agir en conscience et avec bienveillance avec soi-même pour apaiser, relaxer, détendre, à travers différents exercices mêlant gestes conscients et respiration, méditation, travail d’anticipation…

Que peut apporter la psychothérapie ?

La psychothérapie positive et dynamique, va permettre au patient de prendre conscience de l’historique de sa situation, des failles et faiblesses qui l’ont amenées à répondre de façon disproportionnée à des situations stressantes que d’autres n’appréhendent pas de cette façon, de voir le verre à moitié plein plutôt qu’à moitié vide, d’apprendre à relativiser l’urgence,  repérer des schémas de pensés  qui entravent sa capacité d’adaptation et son épanouissement etc.

 

La spécificité du cabinet de psychologie et sophrologie

Je peux proposer des séances qui vont permettre d’aborder alternativement ces 2 techniques, tant dans la prise en charge psycho sophroet l’écoute active psychologique que dans la proposition d’exercices simples de sophrologie. Le patient peut alors choisir l’un ou l’autre ou les 2,  en fonction de son état  dans l’ici et maintenant. Nous analysons ensemble comment sont les ressentis, les sensations du moment, et nous adaptons la réponse à donner.  La séance peut comporter 2 phases, une écoute active de l’état psychique, et une pratique plus ou moins longue de sophrologie pour offrir des outils de détente, et de relaxation. Ainsi, on peut prévoir une séance plus longue  d’une heure trente, afin de laisser au patient le temps d’aborder ces 2 aspects.

 la sophrologie et la psychothérapie vont permettre au patient souffrant de stress chronique à la fois de faire baisser le niveau de stress, mais également d’éloigner les risques cardiovasculaire. 

Stress à l’école, difficultés de concentration ? Et si vous testiez la sophrologie ?

en équilibre

Kézako ?

La sophrologie est un ensemble de petites techniques douces et faciles à utiliser, qui vont permettre à l’enfant de soulager son anxiété, et lui permettre de mieux respirer.

Pour quel objectif ?

La sophrologie va lui apprendre à connaitre son corps au travers de ses sensations. De plus elle va l’aider à avoir une attitude positive, bienveillante avec lui-même. A se percevoir en harmonie avec son corps et son esprit.

Cette technique simple est efficace auprès des enfants agités, qui ont du mal à tenir en place, elle leur donne des outils pour se poser, se concentrer sur leurs sensations.

Elle est également efficace auprès des enfants anxieux, stressés. La sophrologie va les aider à retrouver le calme en eux.

Elle aide également les enfants qui présentent des tics nerveux, qui bégaient, ou énurétiques

La sophro peut commencer relativement jeune vers 4 ou 5 ans, à cet âge, elle est plutôt orientée sur des exercices très ludiques, que l’on enseigne aussi aux parents afin que l’enfant puisse les reproduire avec eux à la maison.

L’enfant vers 7 ou 8 ans, à une bonne conscience de son corps, et peut donc intégrer seul les techniques de relaxation dynamique, de visualisation et d’actions positives.

A l’adolescence, le corps est une énigme qui ne répond plus comme avant, qui change vite et semble nous trahir. La sophrologie viendra pour apaiser toutes ces émotions excessives, aider à la réconciliation corps / esprit, donner des clefs pour faire la paix avec soi-même, libérer les tensions démesurées qui l’encombre.

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Comment ça marche?

Le premier rdv permet de poser des mots sur le mal-être. Les mots des parents, mais également ceux des enfants parfois bien différents. J’écoute son histoire, sa place dans la famille, les évènements marquants récents qui aurait pu perturber l’enfant… cela s’appelle faire l’anamnèse.

Puis selon l’âge et le choix de l’enfant, je le garde seul, afin de l’initier à quelques techniques simples. Si l’enfant est jeune nous abordons la sophrologie sous forme de jeux.

Ensuite j’interroge l’enfant sur ses ressenties. Comment il a vécu la séance, quelles sensations il a senties dans son corps. Cela peut parfois se faire sous forme de dessins. Et enfin,  je lui demande s’il souhaite poursuivre l’expérience avec moi. (Sans accord, je ne poursuis pas. Cela serait inutile car il est indispensable d’avoir envie de changer, envie que les choses évoluent pour que la sophrologie ait un véritable impact)

Par la suite, j’établirai des protocoles qui s’adapteront à la problématique mais également à l’enfant, son humeur, sa fatigue, son vécu de l’instant présent.

Il est indispensable que les parents s’impliquent dans la démarche, en comprenant le but des exercices, mais également en incitant l’enfant à répéter à la maison. Quitte à le faire avec lui.

La sophrologie n’est pas une recette miracle, mais un entrainement. Elle devient un art de vivre quand on a intégré la méthode dans son quotidien.

Le sophrologue va s’adapter à son patient, mais il ne peut pas forcer son patient à pratiquer régulièrement. C’est l’implication du patient ou de son entourage qui va l’aider à progresser, et sortir gagnant pour lui-même.11412442_1013908381966754_824887366994105775_n

Combien de séances ?

Selon les problématiques, il faudra envisager 7 à 10 séances. Parfois plus, parfois moins, selon la problématique et le degré d’implication du sujet.

Individuel ou collectif ?

La sophrologie peut se vivre en séance individuelle, elle s’adapte ici très précisément à la demande du patient.

Elle peut également se vivre en groupe, avec une vision moins individuelle mais avec un vécu et des partages plus riches.

Les groupes d’enfants sont plus restreint que les groupes d’adultes et veilleront à une certaine homogénéité quant à l’âge des enfants.

 

Le coût ?

Evidement le coût des séances en individuel n’est pas le même qu’en cours collectif. Attention néanmoins à ce que le choix se fasse en bon équilibre avec le but recherché. Les séances individuelles permettent une approche ciblée. Les séances collectives, bien qu’efficaces sur certaines problématiques, ne sont pas individualisées, elles s’adaptent au plus grand nombre.

 

comment booster son entreprise?

 

Vous souhaitez booster votre entreprise ?

Avez-vous pensé à favoriser le bien-être de vos collaborateurs ?

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Il est courant encore aujourd’hui de manager les salariés sur la conviction que leur précarité subjective en fera des travailleurs plus docile, et donc plus rentable. Or, une étude récente dans une grande entreprise américaine (J. ROZOVSKY, 2015) a montré que le secret des équipes les plus productives était celles où régnait une sécurité psychologique. C’est-à-dire : une atmosphère qui permettait la solidarité interpersonnelle, le partage et la confiance.

Comment en arriver à cela ?

Pour installer ce climat de confiance et de sécurité psychologique il semblerait qu’il faille que chacun se sente bien.  Bien avec lui-même. Bien dans son corps et son esprit. Bien dans sa posture de travail. Bien dans ses relations avec lui-même et les autres.

Pour instaurer cela, il ne suffit pas de le vouloir. Les personnes en jeu doivent pouvoir se sentir suffisamment, écoutés,  entendus, et surtout  détendus.

Qu’est-ce qu’un salarié détendu ?

C’est un salarié qui comprends que sa posture est importante pour un confort optimal, c’est une personne qui sait gérer son stress positif afin de booster sa production intellectuelle et physique, c’est encore un individu qui sait utiliser ses pauses à bon escient pour se ressourcer et être plus efficace dans sa production.

C’est également un individu qui sent son corps et son mental sans tension.

Le stress étant un facteur bien connu d’aliénation physiologique et psychologique, provoquant démotivation et  absentéisme.

La sophrologie comme outil de mieux-être en entreprise :

Il suffira de 45 minutes par semaine, sur une durée de 8 à 10 semaines et   avec des individus volontaires, pour qu’en quelques semaine, les tensions du corps, comme mentales se dénouent, grâce à des exercices simples et sans matériel ni tenue particulière.

Dans une salle au calme (salle de réunion, de repos, cantine…) dans laquelle nous pourrons nous réunir en groupe de 10 à 12 personnes, assises ou debout.

Contactez-moi  au 06.72.98.93.11  

pour des renseignements et un devis

Marianne AOUN ROBERTY

Psychologue clinicienne et sophrologue RNCP

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Pour aller plus loin sur le projet Aristote de Julia ROZOVSKI: .https://viuz.com/2016/03/04/projet-aristote-les-cinq-cles-des-equipes-gagnantes-selon-google/

 

nouveau! des groupes pour septembre

nouveaté au cabinet!

A partir du 12 septembre 2016

 je vais proposer de la sophrologie en groupe

de 6 à 8 personnes

Pour améliorer :

son bien-être

Sa sérénité

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Offrez-vous un espace pour vous chaque semaine

 

Cabinet de psychologie et sophrologie

Marianne AOUN ROBERTY

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13400 AUBAGNE

 Inscription au 06 72 98 93 11

Groupe 1 : lundis  de 17h30 à 19h adultes / ados

Groupe 2 : mercredis de 14h30 à 16h enfants (à partir de 6 ans)

Groupe 3 : jeudi de 12h à 13h30 adultes / ados

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L’objectif : améliorer son existence, développer sa respiration bienfaisante, et  trouver en chacun de nous, un

espace de bien-être et de sérénité. Dans cet espace d’attention bienveillante que vous vous accordez, vous trouverez une ambiance calme et apaisante, propice à la libération des émotions et de la parole.

La durée : 1h 30 une fois par semaine, pendant les 9 mois de l’année scolaire hormis les vacances.

Déroulement des séances : Nous commencerons toujours les séances par un temps d’échange sur la semaine écoulée et les ressentis de chacun, puis un temps de relaxation permettant à chacun, à son rythme de détendre son corps et son esprit. Ensuite viendra un temps de relaxation dynamique (enchainement de mouvements) accompagné d’exercices sur la respiration, et parfois aussi de visualisation.  Nous finirons la séance de nouveau sur un temps

d’échange sur les sensations ressentis durant la séance. Il vous sera possible de noter vos ressentis sur un carnet.

La tenue : Aucune tenue ni aptitude physique particulières ne sont demandées pour pratiquer, il est cependant conseillé de porter des vêtements confortables, vous serez libre de vous déchausser si vous le souhaitez

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Tarif :

à l’année 350 euros

Par trimestre 144 euros

A la séance 15euros

La 1ere séance sera gratuite.

 

exemple de séance sophro pour enfant de 5 ans

c’est une petite fille qui est déja venue pour des problèmes d’énurésie en novembre, résolus depuis; elle revient cette fois car après avoir vu le dessin animé « zootopie », elle a développé des peurs irationnelles.

je lui fais donc dessiner sa peur sur une feuille blanche, puis je lui propose de la chiffonner , et de la déchirer et de la jeter tout au fond de la poubelle!

la peur1) la peur que nous avons détruite

puis nous avons fait encore de nombreux petits exercices pour évacuer cette peur, en proposant quelques exercices et en lui laissant la liberté d’en inventer ou de modifier ceux que je lui proposais.

pour finir  je lui ai proposé l’exercice de l’arbre qui permet de se sentir ancrer et fort comme un bel arbre. je lui raconte donc que nous sommes une graine qui attend le printemps et quand il est là nous poussons à l’extérieur mais aussi sous terre où nos racines s’enfoncent dans le sol pour nous permettre d’être bien solidement ancrer sur le sol; la sève monte en nous et nous permet de laisser pousser nos branches sur lesquelles se développent nos feuilles et nos fleurs qui sentent bon… c’est alors qu’un oiseau viens se percher sur une de nos branche et se sens si bien qu’il décide d’y faire son nid… l’arbre en est tellement heureux qu’il se sent de plus en plus beau et fort.

en fin de séance j’ai demandé à ma petite patiente de me dessiner comment elle se sentait…

voici les dessins qui ont été produit:

 

2) le sentiment de paix et de mieux-êtrephénodéssinée

 

 

 

 

3) les fleurs avec leurs racines qui poussent dans la terre.fleurs avec racines

 

changer

1377109894706Changer

«C’est impossible, dit la fierté;

C’est risqué, dit l’expérience;

C’est sans issue, dit la raison;

Essayons, murmure le cœur»

– William Arthur Ward

 

 

Beaucoup d’entre nous désir changer de vie, de métier, d’horizon… quelques-uns le tente, mais bien souvent, nous n’osons qu’en rêver sans pour autant mettre en œuvre ce changement.

Comment fait-on pour changer ? Que mettent en œuvre ceux qui changent ???

Bien souvent, ceux qui osent changer sont à l’écoute d’eux-mêmes, attentif à leurs émotions.

Autrement dit, changer c’est savoir s’interroger dans un premier temps,  ici et maintenant sur ce que nous ressentons ; se poser la question si nous sommes en adéquation ou non avec nos valeurs dans ce que nous vivons, sommes-nous en congruence, en phase, avec ce que nous sommes vraiment ?

Comment savoir s’il serait nécessaire de changer ?

Prenons un exemple : si je suis quelqu’un qui respecte la nature, mais qui travaille dans un milieu qui n’en fait pas cas, bien sûr je peux tenter de faire changer les choses dans mon lieu de travail, mais cela n’est pas toujours entendu, ni compris, ni suivi, au bout du compte je vais finir par m’y sentir mal, en décalage avec mes valeurs, et peut être même mis à part, stigmatisé… est-ce que je peux continuer ainsi ? Ne vaut-il mieux pas changer de métier  ou de lieu de travail si c’est possible ?

Parfois le décalage n’est pas si grand, il est juste insidieux, sournois, cela peut se manifester par des dimanches soir difficile, des débuts de semaine plein de lassitude, le décompte des jours avant les prochaines vacances…

Cela peut aussi se jouer à l’inverse par un surinvestissement dans le travail, qui alors ne me laisse plus le loisir de penser à moi, le travail prend toute la place même le weekend ! Je me sens submergé, incapable de décrocher…ma vie n’a plus aucun intérêt que mon travail. (il y a des boulot passionnant, je vous l’accorde, qui ont cet effet là , mais dans ce cas nous sommes dans le plaisir, et nous n’avons aucun désir de changement).Ici, nous parlions de décalage entre ce qui est moi, et la place que je m’accorde, mes valeurs, mon ressenti, et la place du travail.

Il y a également des désirs de changement qui relève de la survie comme les cas de harcèlement au travail, ou les cas de burnout dû à un management inhumain, nous sommes là dans le cadre de la prévention des risques psychosociaux.

Dans tous ces cas, il semble important de prendre le temps de faire une pause, afin de s’écouter, de percevoir les signes que nous envoie parfois notre corps pour nous forcer à nous reconnecter à notre pensée, à notre ressenti  en équilibre corps / esprit, en harmonie avec ce que nous sommes vraiment.

N’avez-vous pas remarqué que notre corps nous parle ? Avec les moyens dont il dispose, c’est-à-dire la survenue d’un disfonctionnement, une douleur, d’une « mal-à-dit » (maladie) ? Certaines personnes peuvent aller très loin dans l’ignorance de ce langage-là, et parfois le corps frappe fort, de plus en plus fort, jusqu’à l’effondrement, la décompensation qui semble alors le seul moyen de stopper le cercle infernal de surdité à soi-même.

Pour changer commenço1367508330835ns donc par écouter nos émotions, ce que nous sentons, ce que nous ressentons à l’intérieur, ce que nous dit notre corps, en toute conscience.

Prenons le temps de nous interroger sur nos valeurs, sur ce qui nous convient, sur ce qui est important pour nous. En nous posant la question : est-ce que cela me convient ? Est-ce que je me sens en accord avec cela ?

Comment me reconnecter à moi-même ?

En sophrologie, nous allons travailler sur la connaissance, la conscience de notre schéma corporel, mais également sur le sens que nous donnons aux valeurs universelle qui nous gouvernent. Ces valeurs prennent une importance fondamentale dans le cheminement vers l’harmonie corps/esprit. D’ailleurs, Alfonso Caycedo  a défini la discipline qu’il a inventée comme « une science de la conscience et des valeurs de l’existence ». Les valeurs qu’il a mis en avant sans pour autant que cette liste soit exhaustive, sont :

  • L’individualité, comme symbole de liberté individuelle, d’existence propre, de respect de soi.
  • La groupéité, comme la rencontre avec l’altérité, l’autre complémentaire, le lien qui m’uni à ma famille, mes proches, mes amis. Cette rencontre de mon individualité avec celle de l’autre.
  • La société, comme la force du vivre ensemble, la construction d’un ensemble d’individualités complémentaires.
  • L’humanité, comme unité de ce que nous sommes sur cette terre quel que soit l’endroit où nous sommes né, la couleur de notre peau, la religion ou non que nous pratiquons. L’humanité est notre condition d’humain c’est aussi cette solidarité humaine que nous pouvons étendre à tout autour de nous, les qualités humaines essentielles pour vivre en bonne harmonie.
  • L’éternité, dans un sens spirituel néanmoins laïque, comme une valeur de continuité, d’ensemble, d’infini en perpétuel prolongation de soi, de l’autre, de l’ensemble que nous formons.

Cette base de valeurs, va nous aider ensuite, à chercher en nous d’autres valeurs plus personnelles, plus pragmatiques.

 

Ainsi, parfois sans nous en rendre compte, nous exprimons nos valeurs dans notre quotidien, comme respecter les emplacements handicapés sur les parkings, laisser sa place à une personne âgée dans les transports en communs, tenir la porte à la personne qui me suit, acheter à un producteur ses fruits et légumes sur le marché plutôt qu’en grande surface… ces choix de vie, ont une résonnance en nous qui tiennent à des valeurs acquises par l’éducations reçue mais également à des choix sur ce que nous voulons faire dans cette société.

 

Le changement donc va s’amorcer sur la prise de conscience de ce que nous voulons valoriser en nous. Par une réflexion tout d’abord, puis des  actions sur plusieurs plans.

Evaluer nos peurs qui bloquent le changement, revenir si nécessaire sur notre propre histoire, pour en évaluer l’impact, les liens qui nous retiennent.  Evaluer nos croyances profondes qui peuvent elles aussi nous empêcher d’avancer. En psychothérapie nous avançons sur ce plan là, en explorant les blocages plus ou moins ancien, en évaluant la place que nous avons joué, l’environnement qui nous a contraint, et en mettant des mots sur ce vécu. Nous nous replaçons dans l’ici et maintenant avec un regard bienveillant sur soi, en guérissant l’enfant intérieur que nous avons été. Je dis souvent à mes patients, qu’une psychothérapie ce n’est pas effacer pas le passé, mais nous permettre de vivre avec, en faisant la paix avec nous-même. Nous travaillerons sur la revalorisation de notre estime de soi ;

Prendre de la distance avec ces liens, jusqu’à les rompre.

En sophrologie, nous allons proposer un travail de projection dans le futur, afin de se préparer au changement, s’y voir déjà, se visualisé dans le futur et d’évaluer les points positifs. Se préparer aux difficultés éventuelles et se voir les surmonter, et prendre de la distance avec nos peurs bloquantes. Nous irons explorer les capacités que nous sommes capable de mettre en avant, et ainsi regonfler la confiance en soi. Dans tous les cas, nous irons vers une action positive, harmonieuse avec soi.

On pourra également se diriger vers un bilan de compétence si le changement concerne le travail afin d’identifier justement les ressources, les compétences qui nous correspondent le mieux. Clarifier ce qui fait de nous tel ou tel professionnel.

Le changement ensuite viendra avec son lot d’aléas, de réussites et d’échecs. L’important étant de ne pas s’arrêter sur le chemin, mais bien d’avancer. L’échec reste un échec si l’on s’y arrête définitivement et que l’on renonce. Il devient expérience quand nous en tirons des leçons pour recommencer autrement, différemment, en tenant compte de cet accroc dans notre parcours.

Le courage c’est de ne pas renoncer à nos rêves. Nous se saurons jamais si nous n’essayons pas.

alors essayons! et si c’est difficile, il y a sur votre routes des personnes prêtes à vous aider à oser.

contactez moi!

 

 

la sophrologie

Qu’est-ce que c’est?

La sophrologie est un ensemble de pratiques de relaxations corporelles qui peuvent être dynamique (le corps est sollicité dans le mouvement afin de mieux le ressentir) ou statique (le corps est immobile et l’on sollicite plutôt le mental).

Le but  de la sophrologie est de mobiliser nos ressources, nos capacités physiques et mentales afin d’affronter le monde qui nous entoure en toute confiance avec soi-même.

Pour cela, la sophrologie s’appuie sur 3 grands principes :

 

spring-flower-289844_640* le principe d’action positive : c’est-à-dire, toute action positive sur soi-même, entraîne une pensée positive ainsi qu’un comportement positif, qui entraînera à son tour une action positive…

En fait très souvent nous sommes plutôt dans un principe plus négatif que positif : nous remarquons plutôt les trains en retard que tous ceux qui arrivent à l’heure ! Nous remarquons le grain de poussière alors que tout autour le calme pourrait régner.  La sophrologie ne prétend pas avoir la solution pour ôter le négatif de tout ce qui nous entoure, mais plutôt de le mettre entre parenthèses,  et vivre pleinement l’instant présent dans tout ce qu’il peut nous apporter comme sensations agréables et positives. Par exemple : dans un embouteillage, coincé dans sa voiture, plutôt que de s’énerver, se stresser par ce contretemps, profiter pour respirer avec ampleur, observer le paysage, écouter de la musique avec plaisir… prendre ce temps qui m’est donné, même si je ne l’avais pas désiré, et en profiter pour m’apporter un instant de bien-être.

 *le principe du schéma corporel  comme une réalité vécue : c’est-à-dire, apprendre à se addie 126ddx_pereprésenter son propre corps, dans toutes les sensations qu’il nous donne, quelle qu’elles soient.  Bien souvent on ne prend conscience de l’existence de notre corps, que lorsqu’il y a douleur, maladie. Or notre corps est une ressource incroyable de bien-être, si l’on sait l’écouter, le sentir tel qu’il est avec ses qualités et ses défauts. Aller à la rencontre de son schéma corporel c’est aussi comprendre comment il nous « parle », en particulier quand il nous envoie des signes, comme la fatigue, comme la douleur, pour nous informer que quelque chose dysfonctionne en nous.  Apprendre à être à l’écoute des signes  de notre corps peut nous permettre de souffler quand il le faut, de mieux respecter ses propre rythmes, de mieux dormir, de mieux lutter contre l’anxiété, l’angoisse, le stress…

 

*et enfin le principe de réalité objective : c’est-à-dire s’adapter à ce que l’on est, ici et maintenant, prendre en compte notre spécificité du jour, afin de toujours se respecter soi-même. Par exemple, pour le sophrologue, proposer des postures qui s’adaptent à la personne qu’il a en face de lui, si la personne ne peut pas lever les bras pour un exercice, proposer un exercice qui lui conviendra plus spécifiquement. C’est du bon sens !

 

Comment ça se passe ? 

Les séances de sophrologie se déroulent soit en individuelles soit en groupe.

 

En individuel, le sophrologue va prendre le temps de savoir ce qui fait la demande du client, pourquoi il est là. Je vais chercher à vous connaitre un peu mieux, savoir quels sont vos rythmes de vie, si vous avez des difficultés d’ordre médicale, si vous avez un bon sommeil ou non… puis, je vais vous proposer quelques exercices de découverte afin de vous immerger très vite dans la sophrologie, car une des lois de la sophrologie c’est qu’elle doit se vivre ! On parle de vivance.

avenue-207247_640Une séance finie toujours par un partage sur les sensations vécues. Cela permet de prendre conscience de cette vivance, mais aussi me permet d’adapter les exercices futurs à la personne. J’établirai alors un  programme de séances progressives (en général  5 à 7 suffisent, mais parfois cela peut être plus long selon les personnes et selon les difficultés à traiter). Sachant que la 2ème loi de la sophrologie c’est la répétition ! Pour que cela fonctionne, il est indispensable de refaire les exercices régulièrement chez soi afin de se les approprier.  Pas de panique ! Je vous donnerai des consignes simples, de même, vous pourrez amener une clé USB afin que je vous donne les enregistrements de certains exercices si nécessaire.

 

La sophrologie en groupe est un peu différente, elle peut se faire sur un thème précis (lutte contre le stress, sommeil et vigilance, confiance en soi…) ou bien sur une idée de bien-être et d’écoute de soi. Les séances commenceront toujours par « une météo du jour », c’est-à-dire un questionnement sur les ressentis du jour. Puis nous poursuivrons par une explication de la séance, et nous mettrons en pratique tous ensemble. Enfin, nous terminerons la séance par un partage  oral sur cette séance, comment chacun a vécu cette séance sur le plan du ressenti. Ces dialogues se font en toute bienveillance envers chaque membre du groupe.

Comme pour les séances individuelles, la répétition est le mot d’ordre de la sophrologie. Pour les groupes à thèmes, 5 à 7 séances semblent raisonnable. Pour les séances bien-être, on peut en envisager plus, réparties sur l’année.

 

la santé

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La santé est un bien précieux qui prend en compte la santé physique (confort de vie sans maladie ou  sans douleur) mais également mentale (confort psychologique) et sociale (sécurité de vie).

Les progrès de la médecine ont apporté un grand nombre de réponses positives à la santé physique, tant par la recherche de médicaments toujours plus performant, que par la prise en charge de pathologies de plus en plus tôt afin d’éviter la dégradation physiologique du corps. Les progrès en imagerie ont également permis d’être plus vigilent et d’agir en prévention.

La santé c’est aussi une démarche volontaire, une action que l’on mène sur soi-même. C’est-à-dire prendre soin de soi en mangeant mieux, en bougeant mieux, en étant attentifs aux besoins de son corps, en prenant en comptes les signes de son corps (fatigue, stress, agacement) , en étant attentif à son environnement  relationnel, professionnel,  (privilégier les relations amicales positives, se préserver des relations toxiques, trouver le juste équilibre entre ses besoins économiques et ses besoins physiologiques…) mais  aussi attention portée à son habitation se préserver un coin de repos de décompression sans écran  afin de pouvoir se ressourcer, aménager son lieu d’habitation avec harmonie pour s’y sentir bien.

Bien souvent nous ne nous rendons compte de tout cela que par le manque : Si nous avons mal au dos, notre dos prend toute sa place dans notre conscience, mais d’un point de vu douloureux. Si nous sommes stressés, notre corps se détraque, l’appétit, le sommeil, la vigilance sont mis à rude épreuve et nous prenons conscience d’un manque de sommeil, d’une fatigue accumulée, de réactions excessives…

Ces manques vont nous aider à prendre conscience que nous avons un chemin différent à parcourir, que nous avons le choix, qu’il ne tiens qu’à nous de changer. Parfois cela se fait dans la douleur (maladie, burn out, dépression, accidents, divorce…) parfois nous avons la chance de réagir avant la chute… l’important ce n’est pas de chercher à se culpabiliser de l’avoir fait si tard, l’important c’est de prendre conscience que nous avons besoin de changer quelque chose à notre vie afin de revenir à un équilibre écologique pour soi-même,  revenir à une homéostasie.

 

Comment ?

Il existe différentes voies d’accès à ce retour, j’en pratique 2 : la psychothérapie et la sophrologie. Les deux  peuvent être utilisées séparément, ou imbriquées l’une dans l’autre, en fonction de la demande de chacun.

La psychothérapie va vous permettre d’en apprendre sur le pourquoi. Chercher dans votre histoire, dans votre vécu les liens qui vous ont amené à cet état de dérèglement dans votre vie. Il faut parfois du temps pour trouver les réponses, pour s’autoriser à changer. Il faut aussi du courage pour partir à la rencontre de soi, de son inconscient, de ces motivations parfois contradictoires que l’on porte en soi. Mais quelle victoire ensuite de se connaitre mieux, de se comprendre mieux, et d’éviter les écueils désormais sur lesquels on buttait sans cesse auparavant. La psychothérapie demande un engagement avec soi-même avec le thérapeute et avec le temps. Il est souvent utile de prendre son temps afin de laisser venir à soi les prises de conscience.

La sophrologie, quant à elle, ne cherche pas la cause du mal-être, elle cherche à vous donner des outils afin d’être plus à l’écoute de vous-même, de retrouver un équilibre entre votre physique et votre mental. La sophrologie demande de l’entrainement, un engagement avec soi-même afin d’intégrer les techniques proposées pour pouvoir les réutiliser quand le besoin s’en fait sentir. La sophrologie peut aider l’individu à retrouver des sensations de perception de soi dans le bien-être, dans la douceur avec soi-même.