Qu’est ce que la relaxation ?

Relaxation pour quoi faire ?

La relaxation ne doit pas être une corvée, elle ne doit pas prendre des heures dans la journée, elle n’est pas forcément passive…

Alors qu’est-ce que c’est ?

Numerisation0011

La relaxation en sophrologie peut se présenter sous deux formes : dynamique ou statique.

Dans la relaxation dynamique nous sommes debout ou assis, et nous sommes dans la prise de conscience de notre corps par le mouvement de celui-ci. Nous mettons en mouvement par exemple le bras gauche, en synchronisant ce mouvement avec notre respiration, tout le reste du corps étant immobile et détendu, et nous essayons de percevoir par tous nos sens,ce qui bouge en nous, que ce soit la perception d’une chaleur dans ce bras qui n’existe pas ailleurs dans notre corps, que ce soit la sensation que ce bras est plus présent par rapport à l’autre….

Cette forme de relaxation dynamique permet d’être présent à soi-même, de se rendre compte que nous habitons notre corps, qu’il est présent et que nous pouvons le percevoir par différent canaux : l’entendre bouger, le sentir bouger à travers nos muscles et nos os, sentir des picotements, de la chaleur ou autre quand nous le bougeons…etc.  Et ainsi accéder à la conscience de notre schéma corporel en toute bienveillance.

 

 

Numerisation0010

La relaxation statique en sophrologie est souvent associée à des visualisations induites par le sophrologue qui vous invite à, par exemple, évoquer un paysage apaisant, un moment ressource pour vous, qui va vous aider à vous détendre, à trouver un moyen accessible à tout moment par vous, pour se détendre.

Par exemple, sur la chaise du dentiste, quand nous voulons nous détendre, avec un peu d’entrainement, nous serons capable de fermer les yeux et d’évoquer ce bord de mer que nous aimons tant, afin de nous aider à retrouver notre calme et nous détendre pendant un moment qui sans cela serai un moment de stress.

Quand utiliser cet outil ?

J’ai envie de dire, tout le temps ! C’est-à-dire chaque fois que j’ai un moment où je pourrais stresser, où je pourrais m’énerver, je peux utiliser un exercice de relaxation dynamique ou statique.

Par exemple, dans le train bondé aux heures de pointes, le train s’arrête en pleine voie, il ne bouge plus et la tension monte, les gens râlent autour de vous… à ce moment-là, vous n’avez aucun moyen ni de faire bouger le train, ni de savoir ce qui se passe, ni de savoir combien de temps cela va durer… si vous vous énervez, cela ne changera rien… alors autant se détendre, prendre le temps de se recentrer sur soi, et respirer , s’apaiser avec une image détente, ou mettre en tension /détension quelques parties de son corps…

Luc Audouin ( fondateur du CEAS Paris   ) a une formule qui me parle bien pour ces moment-là : « attente = détente », ce qui signifie, quand j’ai un instant d’attente, que cela soit imprévu ou non, je peux mettre ce temps-là à profit pour me détendre :  dans la queue d’un distributeur de billets, dans la queue à la caisse d’un super marché, ou d’un péage d’autoroute, dans les temps de transport….etc.

La relaxation ne marche pas sans la respiration.

En effet, notre souffle contribue à accentuer ou non notre état de détente ou de stress.  Plus notre souffle se situe haut dans notre cage thoracique et plus nous avons besoin de prendre de nombreuses inspirations pour oxygéner notre corps et en particulier notre cerveau, ce qui induit des battements cardiaque rapides et un sentiment de stress important.  A l’inverse, plus nous avons une respiration basse, emplissant la totalité de nos poumons d’air, en gonflant notre ventre à l’inspiration et en rentrant le ventre à l’expire, plus notre cœur ralenti son rythme, et notre esprit s’apaise.

 

Numerisation0009

Faites l’expérience vous-même : posez vos mains sur votre ventre, et vider vos poumons en appuyant un peu sur votre ventre pour vider celui-ci de tout l’air, puis inspirer en gonflant votre ventre comme un ballon, qui va pousser vos mains vers l’extérieur… recommencer plusieurs fois, jusqu’à sentir votre corps se détendre, votre cœur s’apaiser…

Puis posez vos main sur votre torse, très haut, sous vos clavicules, et inspirer comme pour un sanglot, par petit bouffées rapides, plusieurs fois, vous sentez alors votre cœur accélérer son rythme, et parfois même vous pouvez avoir la tête qui tourne… vous avez expérimenté la respiration sous claviculaire, que l’on peut ressentir dans un état de stress. Et qui parfois peu conduire à des malaises.

Comprendre comment notre corps fonctionne et quels sont ses besoins peut nous aider à retrouver un état d’homéostasie, d’équilibre, pour vivre en harmonie avec soi-même. Et ça c’est faisable tous les jours, tout le temps.

Les émotions

Les émotions sont des expériences, des réactions psychologiques et physiques à une situation qui peut être interne et /ou environnementale.

Emotion vient du latin motio qui signifie  action de se mouvoir, mouvement.

Les émotions sont une suite de réactions en chaîne dans notre système nerveux central, qui entraîne des réactions physiologiques de notre système nerveux autonome.

Autrement dit, lors d’une émotion, nos sens sont averti en premier lieu (la vue, l’odorat, le gout, l’ouïe, le toucher) cette information est transmise à notre cerveau qui va déclencher une réaction biochimique en chaîne  afin de nous préserver d’un éventuel danger.

Car à l’origine, nos émotions ont pour fonction de nous protéger.

20150128 190243
Il existe 6 émotions primaires :
La joie
La colère
Le dégoût
La peur
La tristesse
Et la surprise.

Ces émotions ne sont pas l’apanage des êtres humains, mais sont partagées par bon nombres d’animaux sur terre.

Quand nous affirmons que les émotions sont faites pour nous protéger, il faut se replacer dans le contexte de nos ancêtres les hommes préhistoriques qui devaient affronter toutes sortes de dangers dans leur environnement. Mais nous allons voir que finalement nous avons gardé bon nombres de ces émotions salvatrices même encore aujourd’hui.

  • Si l’on considère la peur elle a pour fonction de nous avertir d’un danger. Notre vision devient alors plus précise, nos réflexes sont plus vifs, nos muscles sont irrigués et prêts à fonctionner, et nous sommes moins sensible à la douleur tout cela, donc pour nous préparer à affronter le danger  ou à le fuir.
  • Le dégoût, quant à lui, nous permet de ne pas manger des aliments qui pourraient être dangereux voire toxiques pour nous, par exemple s’il ne sent pas bon…
  • La surprise met tous nos sens en éveil, afin de fuir s’il le faut un danger.
  • La colère me permet de me surpasser en rassemblant toute mon énergie pour dépasser un obstacle qui me résiste.
  • La joie et la tristesse, me permettent de me rapprocher des autres, dans la joie, je partage une convivialité qui me permet de ne pas être seul, dans la tristesse, je permets la compassion et le rapprochement des autres qui veulent me consoler.

Nos émotions sont situées dans le système limbique de notre cerveau. Il est constitué de plusieurs zones : thalamus, les 2 amygdales cérébrales, l’hippocampe, et l’hypothalamus, qui vont recevoir l’information et l’orienter vers une réaction en chaîne biochimique et physiologique.

  • En premier lieu nos sens perçoivent un danger

>L’information arrive en un centième de milliseconde dans notre système limbique, ici dans le thalamus qui va d’une part renvoyer l’information dans la zone spécifique du cortex propre à chacun de nos sens,

>Mais aussi dans les amygdales cérébrales en lien avec l’hippocampe chargé de traiter l’information sur le plan de la mémoire (est ce que j’ai déjà vécu cette situation)

>Et  également  dans l’hypothalamus qui va donner des ordres à notre système nerveux autonome qui commande tous nos réflexes vitaux (battement du cœur, respiration, digestion…)

> Ces informations sont alors transmises aux glandes surrénales qui vont envoyer dans le sang une grosse décharge d’adrénaline. Cette dernière est un flot d’énergie qui va accélérer le rythme cardiaque, mais aussi la respiration. Cela a pour conséquence d’alimenter les muscles en oxygène afin qu’ils soient le plus efficace possible, en particulier nos jambes (c’est pour cela que l’on pâli, car nos jambes sont mieux irriguées que notre visage), notre digestion se met en pause,  notre foie envoie du sucre dans le sang afin d’alimenter l’effort et nous nous préparons à refroidir notre corps des efforts qu’il va produire, alors nous transpirons.

  • Si le danger est minime, ou insignifiant finalement, le corps retrouve son calme, et tout rentre dans l’ordre.
  • Si le danger est réel, nous attaquons, ou nous fuyons.

Le stress

Le stress est une émotion exagérée et hors de propos provoquée par notre cerveau qui provoque les mêmes réactions en chaîne sur les plans biochimiques et physiologiques, sans qu’il n’y ait de réponses physiques de notre corps. Nous sommes programmés pour attaquer ou pour fuir, et là nous ne bougeons pas.

Pour mieux comprendre  ce qui se passe sur le plan biochimique dans notre corps :

> Quand nous subissons un stress, inconsciemment nous accélérons notre respiration (hyperventilation), ce qui va conduire à une  diminution de la concentration du gaz carbonique dans le sang (hypocapnie), et donc à un déséquilibre acido-basique du plasma sanguin qui prend un PH basique (alcalose respiratoire). Cela entraîne une vasoconstriction générale indispensable pour la préparation à l’effort physique, MAIS complètement inadapté si l’on ne bouge pas !

C’est alors que cette vasoconstriction générale va entraîner des conséquences sur :

  • le cerveau (difficulté de concentration),
  • le cœur (tachycardie),
  • les muscles (tension voire raideur musculaire jusqu’à la fibromyalgie),
  • le tube digestif (maux de ventre, diarrhée…)

Sans y remédier, le stress devient chronique, et entraîne des complications qui pourront entraîner des dépendances médicamenteuses, des addictions, des insomnies chroniques, dépression, envie d’en finir…

Comment y remédier ?

La prise de conscience de son état physique et mental sont les premiers pas vers la solution. Ensuite, il est important d’identifier la source du stress (travail, famille,…)

Il va sans dire, qu’il est alors important de se faire suivre auprès d’un médecin, d’un psychologue, d’un sophrologue… afin de remédier au mal en se prenant en charge.

Il me semble important de signaler qu’un médicament psychotrope, quelle que soit son efficacité, ne saura résoudre à lui seul le problème. Si je me casse une jambe, j’aurai beau marcher avec des béquilles, ce ne sont pas elles qui guériront ma jambe, mais bien les soins que j’y apporterai. Le médicament psychotrope c’est la même chose. Considérons-le comme une béquille, mais agissons pour pouvoir s’en passer le plus tôt possible.

En psychothérapie, le travail consistera à identifier les causes de ce stress, à en chercher les origines, et à comprendre pourquoi  le sujet succombe à ce stress plutôt que de se préserver, qu’est ce qui dans l’histoire du sujet, peut expliquer cet état.

En sophrologie le travail consistera à pratiquer des exercices pour apprendre à évacuer les tensions accumulées, à travailler sa respiration, à comprendre comment se préserver, s’écouter, et limiter le stress.

La sophrologie pour les enfants

Img 6663

La sophrologie peut être pratiquée avec des enfants même très jeunes, à partir de 3 ou 4 ans, il est possible de jouer avec son corps, de prendre conscience de sa respiration et d’apprendre à retrouver son calme avec de petits exercices amusant et efficaces.

Lorsque je reçois en cabinet un enfant, il est toujours accompagné d’un adulte, soit son ou ses parents soit un adulte référent. Nous dialoguons dans un premier temps sur la demande qui a poussé l’adulte à conduire l’enfant à me voir.

Une fois que l’on a cerné la problématique, je demande à l’enfant son avis sur la question. C’est important que l’enfant s’implique dans sa prise en charge, car bien souvent il n’est pas autonome vis-à-vis de ce choix.

Si je perçois une réticence, je lui demande de m’expliquer ce qu’il ressent, comment il envisage, lui, les choses. Est-ce qu’il a envie de changer quelque chose dans la situation qui a amené ses parents vers cette consultation.  Je propose alors un essai, c’est-à-dire quelques exercices simples de sophrologie. Si l’enfant adhère à ma façon de travailler, nous pouvons poursuivre la prise en charge.

Sinon, je m’en ouvre au parent, afin de laisser à l’enfant le temps de comprendre son besoin ou non. Parfois, une prise en charge du parent permettra à l’enfant d’aller mieux.

On dit souvent qu’un enfant est le symptôme d’un mal être familial… Ils captent notre stress, nos difficultés, et se sentent souvent responsable d’événements familiaux qui n’ont rien à voir avec eux. La prise en charge d’un enfant permet parfois à la famille de prendre conscience que les choses marchent mal dans son sein.

 

Lors de cette première séance de sophrologie, si l’enfant le souhaite, le parent présent peut essayer de faire les exercices avec l’enfant.

A la suite de ces exercices, nous nous rasseyons et nous discutons avec l’enfant, des sensations ressenties durant la séance, comment se sent on après, mieux ? Moins bien ? Détendu ? Encore stressé  ou anxieux ?  Si l’enfant est trop jeune, je lui demande de dessiner ce que cette séance lui a fait.

Ensuite, selon l’alliance que s’est créée ou non entre l’enfant et moi, nous envisageons d’autres rendez-vous. Un enfant a parfaitement le droit, selon moi, de ne pas souhaiter poursuivre avec moi. Je lui demande toujours son avis sur cette question.

La sophrologie avec les enfants se pratique sous une forme ludique, avec des exercices qui reprennent tout ou partie des contenus que l’on trouve dans les séances pour adultes, mais en jouant, avec des animaux, des contes, des objets comme des plumes, des ballons… le but étant de favoriser la détente tout en restant dans l’univers des enfants.

La sophrologie pour les enfants convient dans les cas d’anxiété, de stress, d’agitation, de difficulté à dormir, de difficulté à se concentrer, de timidité excessive, énurésie...

Bien sûr, parfois ces symptômes sont les signes d’un malaise plus grand, plus profonds. Comme je suis également psychologue, je me permets de proposer alors un suivi psychologique qui pourra être mixé à la sophrologie si besoin. Ne s’occuper que d’un symptôme sans traiter la totalité du malaise, c’est comme vouloir effacer une blessure grave en la cachant derrière du sparadrap. L’effet serait désastreux.

Ma double compétence me permet d’être vigilante et de pouvoir proposer une prise en charge complète, tant psychologique que sophrologique. J’ai néanmoins mes propres limites, si je n’ai pas les compétences, j’envoie consulter vers d’autres professionnels.

En théorie, les sophrologues formés correctement ont une éthique et respecte le code de déontologie de la profession. Ainsi, ils savent reconnaître les limites de leurs compétences et adresser une personne qu’ils ne peuvent soulager vers d’autres professionnels. A chacun son métier.

Psychothérapie ou sophrologie ?

La psychothérapie analytique dynamique Qu’est-ce que c’est ?

Il s’agit de vous prendre en charge  avec bienveillance, dans une écoute  dynamique des souffrances qui vous ont amené à prendre rendez-vous.

Le but de mon travail est d’entendre la plainte, de l’analyser avec vous, et de vous aider à faire les liens entre ce qui se passe aujourd’hui pour vous et  le lien avec le passé qui vous a meurtri. En effet, nous allons remonter le fil de votre histoire, afin de comprendre le pourquoi. Je dis souvent à mes patients adultes, que nous allons aller à la rencontre du petit enfant que vous avez été, et que nous allons tâcher de l’apaiser, de le consoler, pour que l’adulte que vous êtes se sente mieux aujourd’hui. Mon rôle c’est d’être votre guide dans ce parcourt, de vous aider à faire des passerelles entre différents comportements et vécus, pour qu’au final vous puissiez vivre plus sereinement, non pas en effaçant le passé mais en vivant avec, en en faisant un allier plutôt qu’un ennemi.

Je me place parfois dans un rôle pédagogique quand il me semble important d’expliquer le pourquoi de certaines attitudes, de certains comportements.  Parfois je suis plutôt dans un une posture de dialogue interrogatif, et d’autre fois d’écoute bienveillante. Je ne reste pas dans une posture silencieuse, mais plutôt une écoute dynamique, c’est-à-dire une écoute participative, laissant place au dialogue et au réconfort.

Mon travail se base sur des connaissances psychanalytiques de type freudiennes,  mais sans pour autant m’y attacher exclusivement.  Je suis consciente que la théorie psychanalytique ne fonctionne pas pour toutes les pathologies, c’est d’ailleurs en partie pourquoi je me suis intéressée à la sophrologie qui peut être un support thérapeutique complémentaire. Je suis également partisane d’une psychologie positive, qui permet d’aller à la recherche de ce qui va bien en soi, pour en faire un socle de résilience possible.

Comment cela se passe-t-il ? La consultation se fait en principe en face à face, je vous laisse parler tout en posant parfois des questions pour aller plus loin sur certains points, parfois en reformulant ce que j’ai entendu afin de clarifier, d’analyser ce que j’ai compris… souvent nous ne suivons pas une trame chronologique, car les évènements vécus peuvent amener à des associations d’idées sur d’autres évènements et ainsi de suite. Mon rôle alors sera de pointer peut être ces liens qui vous ont fait aller d’un point à un autre pour en chercher avec vous le sens que cela a pour vous.

Nous pouvons également travailler sur les rêves, quand vous vous en souvenez. C’est une porte intéressante sur l’inconscient, qui nous amène parfois à comprendre beaucoup plus vite certaines peurs ou autres traumatismes. Parfois ils peuvent se révèler difficiles à interpréter, mais malgré tout, apporter des éléments pour avancer dans le travail thérapeutique.

Avec les enfants, la démarche est un peu différente. Souvent je commence par les faire dessiner, ou jouer, pour créer une alliance entre nous. J’analyse les dessins au fur et à mesure avec l’enfant afin de bien comprendre ce qui se joue pour lui. J’analyse également ce que je comprends du jeu que l’enfant met en scène devant moi et / ou avec moi. Parfois nous lisons des livres que je possède au cabinet, je peux même les prêter. Mes livres ont tous un contenus qui peuvent être discuté avec l’enfant.

La durée d’une consultation est d’environ 45 minutes. Elle peut être plus courte pour les enfants (30 minutes) avec 15 minutes qui peuvent être consacrées aux parents afin de discuter de la forme que prend la thérapie (ATTENTION ! je ne parlerai jamais du contenue des séances ! c’est la règle de la confidentialité)

Règle de confidentialité : tout ce qui est dit au sein du cabinet, est confidentiel et ne sera jamais divulgué.  Il m’arrive de parler d’anciens patients pour illustrer un exemple sur un symptôme ou une pathologie similaire, mais bien sûr je ne site jamais de nom, ni de détails trop personnel. La seule clause qui rompt le secret professionnel  c’est quand il s’agit d’un enfant dont les propos révèlent qu’il est en danger. Le cas échéant, il convient de prévenir les autorités compétentes. Ces règles de confidentialités sont valable tant pour la psychologie que pour la sophrologie.

A qui ça s’adresse ? La psychothérapie s’adresse à tous : enfants, adolescents, adultes, personnes âgées.

Que ce soit pour un mal-être passager, perte de confiance en soi, difficultés à affronter un problème, crises d’angoisses, …

Ou des pathologies plus envahissantes comme des phobies, des TOC (troubles obsessionnels compulsifs), des états dépressifs plus ou moins importants et/ou cycliques…

La psychothérapie peut également  aider ponctuellement à vivre un deuil difficile, un départ à la retraite, un divorce…

N’hésitez pas à nous contacter pour plus de détails.