conte sophro: le petit trappeur

 

ce petit conte écrit pour un enfant de 11 ans, inclus à la fois une histoire et des exercices de sophrologie que l’on peut faire avec l’enfant. 

Il était une fois, un jeune trappeur qui était parti à la chasse dans la montagne, au cœur de la forêt… il poursuivait unphoto de la forêt Cari=oline animal depuis déjà un long moment, quand l’animal lui échappa,  à cause d’une nappe de brouillard qui envahi toute la montagne…c’est alors qu’il se rendit compte, qu’il était un peu perdu…

Il ne connaissait pas du tout cette partie de la montagne, et tout d’abord, il paniqua un peu… puis, il se mit à réfléchir… alors il posa son sac à dos, son fusil, et il décida de souffler tout l’air qu’il avait dans ses poumons… puis d’inspirer en gonflant le ventre, et de souffler doucement… plusieurs fois… et plus il respirait ainsi, et plus il sentait le calme revenir en lui…

Il eut l’idée alors de tester d’où venait le vent pour savoir si le brouillard allait se lever… alors il mouillât un doigt, bascula tout son poids sur une jambe, et leva le bras du même côté pour savoir d’où venait le vent (2x d’un côté, 2x de l’autre, 2x des deux bras)

Le vent  lui indiqua que bientôt le brouillard se lèverai, mais comme la nuit allait tomber, il décida de chercher un coin confortable pour passer la nuit… il se mit à marcher comme un indien pour ne pas effrayer les animaux qui pourrait être là… (marche attentive et silencieuse j’inspire en posant le talon j’expire en posant tout le pied…)

Il lui fallait trouver un endroit près d’un ruisseau, alors il s’arrêtait de temps en temps, pour écouter… puis repartait dans la direction du son de l’eau… (Je suis attentif à tous les bruits et je peux imaginer les bruits de la forêt autour de moi…)

Quand il trouva le ruisseau, il installa son campement, et il alluma un feu… il rassembla du bois sec, et souffla sur les braise pour que le bois prenne. (Je souffle fort plusieurs fois sur les braises…)

Qsunrise-274257_640uand le feu fut bien haut, il tendit ses mains pour se réchauffer tout le corps… (je tends les bras, en fermant les yeux, j’essaie de sentir la chaleur du feu qui se répand dans tout mon corps)

Puis il sorti sa gamelle et la posa sur le feu pour cuire sa nourriture, et enfin la déguster (j’imagine que je mange et les effets de cette nourriture dans mon corps)

La nuit était tombée, il était fatigué après cette journée, alors il s’installa confortablement, tranquillement, la nuit était calme, les étoiles brillaient dans le ciel, il se sentait en sécurité. (je ferme les yeux et j’imagine que je suis allongé confortablement dans mon sac de couchage, que les bruit de la forêts sont agréables autour de moi, j’entends le feu qui crépite, le bruit de la source, je sens les étoiles au-dessus de moi qui tapissent le ciel…)Demain, il fera jour, et il retrouvera son chemin sans problème, et puisque c’est ainsi, il peut s’endormir sereinement. Ce qu’il fit !

Reprise

La frustration c’est pas si mal pour grandir !

Qui n’a jamais été témoin, ou n’a vécu avec ses propres enfants ou non, des scènes où le petit de mets à hurler, crier, pleurer fort, taper du pieds , voire même se rouler par terre, afin d’obtenir quelque chose, alors que son parent a dit simplement NON ? Souvent, la tentation est grande alors de céder, et donc de satisfaire (à contrecœur) l’enfant. Alors, le calme revient. MAIS…. la prochaine fois, l’enfant recommencera, car il n’aura rien appris de cette fois-là, etnuages en particulier il n’aura pas appris à réguler, à tolérer sa frustration.

Eduquer un enfant, c’est aussi lui apprendre cela : savoir surmonter l’envie d’avoir tout, tout de suite, tolérer que tout ne lui soit pas dû.

L’enfant qui ne sait pas gérer ses émotions va soit piquer une crise quand on lui dit non, soit s’énerver s’il ne réussit pas immédiatement,  soit n’a pas la patience d’attendre et veut tout de suite, soit encore prend les objets sans attendre son tour, ou encore passe devant les autres…

L’expérience de Walter Mischel

Dans une salle, un adulte reçoit un enfant, et pose devant l’enfant un bonbon. Puis l’adulte se lève et dit à l’enfant qu’il va quitter la pièce quelques instant et quand il revient, si le bonbon est toujours là, l’enfant en aura un 2ème.

L’expérience nous apprend  qu’1/3 des enfants obtient un 2ème bonbon et parmi ces enfants-là, 30 ans plus tard, devenus adultes ils sont plus diplômés que le reste du groupe, plus mince et moins touchés par des addictions.

Le test ne porte pas spécifiquement sur la frustration mais sur la capacité à savoir attendre, en fonction d’un élément,  aidant ou non l’attente.

Avec cette expérience, nous découvrons
·         qu’un enfant de moins de 4 ans, n’est pas équipé pour résister à la tentation

·         que le stress joue un rôle déterminant sur la capacité de résistance à la tentation

o   si l’enfant est stressé il ne parvient pas à attendre (le stress peut provenir d’une tension avec le ou les parents fâchés avec lui, ou de critiques, ou de disputes entre parents…)

o   si l’enfant est content il résiste 4X plus.

o   Si l’adulte est fiable, qu’il tient ses promesses, l’enfant est capable de résister plus longtemps que lorsque l’adulte  n’est pas fiable

·         qu’un attachement solide et sécure en son parent, permet  à l’enfant une plus grande capacité de résistance

 

Comment l’aider ?

D’un point de vue psychologique :
·         dans un premier temps, si l’enfant a trop tendance à faire des colères en public et que cela vous dérange beaucoup, je proposerai d’éviter les tentations, et si les tentations sont inévitables, de donner une tâche à faire à son enfant au moment de la tentation : par exemple, détourner l’attention en regardant ailleurs, ou occuper son enfant à compter quelque chose, ou encore lui demander de raconter un évènement récent de sa vie…

·         avant de partir, si la tentation est inévitable, prévenir l’enfant que nous ne céderons pas,  expliquer pourquoi avec bienveillance, en étant clair, ferme  tout en restant bienveillant. Puis sur place, veillez à l’occuper (voir plus haut)

·         le préparer mentalement avant avec la phrase «  si…alors… »  par exemple « si l’on passe devant le rayon des bonbons, alors tu comptes jusqu’à 100 »

·         si l’enfant arrive à se contrôler, ne pas hésiter à le féliciter «  je vois que tu as réussi à être très sage, je suis fière de toi.

·         Mettre en place avec lui le bocal des tentations contrôlée (il s’agit d’un bocal translucide de préférence, et chaque fois que l’enfant est capable d’attendre, d’être respectueux de la règle posée, de jeter un caillou ou une bille dans le bocal. Le but étant de remplir ce bocal de cailloux ou billes afin de montrer visuellement et auditivement  ses progrès)

·         Montrer l’exemple, en verbalisant tout haut quand quelque chose vous frustre  quelle stratégie vous mettez en place pour attendre : je m’occupe l’esprit avec un livre, un jeu… ou je pense à quelque chose d’agréable… (voir plus loin)

·         Je lui montre avec des poupées, des peluches ou des figurines, les comportements de frustration exagérés où ce sont les poupées qui s’agacent, s’énervent, se roulent par terre, et je propose à l’enfant de trouver la stratégie pour qu’elles se calment…

D’un point de vu sophrologique
·         Je lui apprends à souffler, à respirer calmement en amont pour retrouver son calme comme avec les exercices :

o   l’exercice du bol de soupe (voir *)

o    le ballon/crêpe (voir*)

o   le jeu du spaghetti (voir*)

o   à visualiser un paysage ressource qui lui permettra d’occuper son esprit

o   à sentir son corps détendu, et à le détendre le cas échéant.

o   A anticiper les moments de frustrations pour ne pas y céder et se sentir fort, grand quand on y arrive.

 

L’immédiateté de la satisfaction peut bien souvent n’apporter qu’un plaisir fugace, qui s’inscrit peu, et demande à être renouvelé très vite. Alors que l’attente d’une satisfaction différée, reportée, peut être un facteur de plaisir décuplé, le désir c’est installé, a pu grandir, se construire et quand la satisfaction vient enfin, le plaisir s’inscrit plus fortement, il est plus apprécié, plus ancré, mémorisé.

J’espère que cet article vous aura donné des pistes pour aider un enfant à supporter la frustration et avancer dans la vie.

changer

1377109894706Changer

«C’est impossible, dit la fierté;

C’est risqué, dit l’expérience;

C’est sans issue, dit la raison;

Essayons, murmure le cœur»

– William Arthur Ward

 

 

Beaucoup d’entre nous désir changer de vie, de métier, d’horizon… quelques-uns le tente, mais bien souvent, nous n’osons qu’en rêver sans pour autant mettre en œuvre ce changement.

Comment fait-on pour changer ? Que mettent en œuvre ceux qui changent ???

Bien souvent, ceux qui osent changer sont à l’écoute d’eux-mêmes, attentif à leurs émotions.

Autrement dit, changer c’est savoir s’interroger dans un premier temps,  ici et maintenant sur ce que nous ressentons ; se poser la question si nous sommes en adéquation ou non avec nos valeurs dans ce que nous vivons, sommes-nous en congruence, en phase, avec ce que nous sommes vraiment ?

Comment savoir s’il serait nécessaire de changer ?

Prenons un exemple : si je suis quelqu’un qui respecte la nature, mais qui travaille dans un milieu qui n’en fait pas cas, bien sûr je peux tenter de faire changer les choses dans mon lieu de travail, mais cela n’est pas toujours entendu, ni compris, ni suivi, au bout du compte je vais finir par m’y sentir mal, en décalage avec mes valeurs, et peut être même mis à part, stigmatisé… est-ce que je peux continuer ainsi ? Ne vaut-il mieux pas changer de métier  ou de lieu de travail si c’est possible ?

Parfois le décalage n’est pas si grand, il est juste insidieux, sournois, cela peut se manifester par des dimanches soir difficile, des débuts de semaine plein de lassitude, le décompte des jours avant les prochaines vacances…

Cela peut aussi se jouer à l’inverse par un surinvestissement dans le travail, qui alors ne me laisse plus le loisir de penser à moi, le travail prend toute la place même le weekend ! Je me sens submergé, incapable de décrocher…ma vie n’a plus aucun intérêt que mon travail. (il y a des boulot passionnant, je vous l’accorde, qui ont cet effet là , mais dans ce cas nous sommes dans le plaisir, et nous n’avons aucun désir de changement).Ici, nous parlions de décalage entre ce qui est moi, et la place que je m’accorde, mes valeurs, mon ressenti, et la place du travail.

Il y a également des désirs de changement qui relève de la survie comme les cas de harcèlement au travail, ou les cas de burnout dû à un management inhumain, nous sommes là dans le cadre de la prévention des risques psychosociaux.

Dans tous ces cas, il semble important de prendre le temps de faire une pause, afin de s’écouter, de percevoir les signes que nous envoie parfois notre corps pour nous forcer à nous reconnecter à notre pensée, à notre ressenti  en équilibre corps / esprit, en harmonie avec ce que nous sommes vraiment.

N’avez-vous pas remarqué que notre corps nous parle ? Avec les moyens dont il dispose, c’est-à-dire la survenue d’un disfonctionnement, une douleur, d’une « mal-à-dit » (maladie) ? Certaines personnes peuvent aller très loin dans l’ignorance de ce langage-là, et parfois le corps frappe fort, de plus en plus fort, jusqu’à l’effondrement, la décompensation qui semble alors le seul moyen de stopper le cercle infernal de surdité à soi-même.

Pour changer commenço1367508330835ns donc par écouter nos émotions, ce que nous sentons, ce que nous ressentons à l’intérieur, ce que nous dit notre corps, en toute conscience.

Prenons le temps de nous interroger sur nos valeurs, sur ce qui nous convient, sur ce qui est important pour nous. En nous posant la question : est-ce que cela me convient ? Est-ce que je me sens en accord avec cela ?

Comment me reconnecter à moi-même ?

En sophrologie, nous allons travailler sur la connaissance, la conscience de notre schéma corporel, mais également sur le sens que nous donnons aux valeurs universelle qui nous gouvernent. Ces valeurs prennent une importance fondamentale dans le cheminement vers l’harmonie corps/esprit. D’ailleurs, Alfonso Caycedo  a défini la discipline qu’il a inventée comme « une science de la conscience et des valeurs de l’existence ». Les valeurs qu’il a mis en avant sans pour autant que cette liste soit exhaustive, sont :

  • L’individualité, comme symbole de liberté individuelle, d’existence propre, de respect de soi.
  • La groupéité, comme la rencontre avec l’altérité, l’autre complémentaire, le lien qui m’uni à ma famille, mes proches, mes amis. Cette rencontre de mon individualité avec celle de l’autre.
  • La société, comme la force du vivre ensemble, la construction d’un ensemble d’individualités complémentaires.
  • L’humanité, comme unité de ce que nous sommes sur cette terre quel que soit l’endroit où nous sommes né, la couleur de notre peau, la religion ou non que nous pratiquons. L’humanité est notre condition d’humain c’est aussi cette solidarité humaine que nous pouvons étendre à tout autour de nous, les qualités humaines essentielles pour vivre en bonne harmonie.
  • L’éternité, dans un sens spirituel néanmoins laïque, comme une valeur de continuité, d’ensemble, d’infini en perpétuel prolongation de soi, de l’autre, de l’ensemble que nous formons.

Cette base de valeurs, va nous aider ensuite, à chercher en nous d’autres valeurs plus personnelles, plus pragmatiques.

 

Ainsi, parfois sans nous en rendre compte, nous exprimons nos valeurs dans notre quotidien, comme respecter les emplacements handicapés sur les parkings, laisser sa place à une personne âgée dans les transports en communs, tenir la porte à la personne qui me suit, acheter à un producteur ses fruits et légumes sur le marché plutôt qu’en grande surface… ces choix de vie, ont une résonnance en nous qui tiennent à des valeurs acquises par l’éducations reçue mais également à des choix sur ce que nous voulons faire dans cette société.

 

Le changement donc va s’amorcer sur la prise de conscience de ce que nous voulons valoriser en nous. Par une réflexion tout d’abord, puis des  actions sur plusieurs plans.

Evaluer nos peurs qui bloquent le changement, revenir si nécessaire sur notre propre histoire, pour en évaluer l’impact, les liens qui nous retiennent.  Evaluer nos croyances profondes qui peuvent elles aussi nous empêcher d’avancer. En psychothérapie nous avançons sur ce plan là, en explorant les blocages plus ou moins ancien, en évaluant la place que nous avons joué, l’environnement qui nous a contraint, et en mettant des mots sur ce vécu. Nous nous replaçons dans l’ici et maintenant avec un regard bienveillant sur soi, en guérissant l’enfant intérieur que nous avons été. Je dis souvent à mes patients, qu’une psychothérapie ce n’est pas effacer pas le passé, mais nous permettre de vivre avec, en faisant la paix avec nous-même. Nous travaillerons sur la revalorisation de notre estime de soi ;

Prendre de la distance avec ces liens, jusqu’à les rompre.

En sophrologie, nous allons proposer un travail de projection dans le futur, afin de se préparer au changement, s’y voir déjà, se visualisé dans le futur et d’évaluer les points positifs. Se préparer aux difficultés éventuelles et se voir les surmonter, et prendre de la distance avec nos peurs bloquantes. Nous irons explorer les capacités que nous sommes capable de mettre en avant, et ainsi regonfler la confiance en soi. Dans tous les cas, nous irons vers une action positive, harmonieuse avec soi.

On pourra également se diriger vers un bilan de compétence si le changement concerne le travail afin d’identifier justement les ressources, les compétences qui nous correspondent le mieux. Clarifier ce qui fait de nous tel ou tel professionnel.

Le changement ensuite viendra avec son lot d’aléas, de réussites et d’échecs. L’important étant de ne pas s’arrêter sur le chemin, mais bien d’avancer. L’échec reste un échec si l’on s’y arrête définitivement et que l’on renonce. Il devient expérience quand nous en tirons des leçons pour recommencer autrement, différemment, en tenant compte de cet accroc dans notre parcours.

Le courage c’est de ne pas renoncer à nos rêves. Nous se saurons jamais si nous n’essayons pas.

alors essayons! et si c’est difficile, il y a sur votre routes des personnes prêtes à vous aider à oser.

contactez moi!

 

 

Avoir confiance en soi / avoir de l’estime pour soi

1367503427481Avoir confiance en soi ou avoir de l’estime pour soi, souvent on emploi l’un et l’autre pour dire la même chose, mais ce n’est pas exactement pareil que d’avoir de la confiance en soi, c’est-à-dire se sentir capable, que d’avoir de l’estime de soi c’est-à-dire je sais ce que je vaux.

Autrement dit, la confiance en soi fait référence à nos capacités, tandis que l’estime de soi se réfère à nos valeurs. Nous entendons, bien évidemment, que les 2 sont liés et nevont pas l’un sans l’autre, je ne peux avoir confiance dans mes capacité si je n’ai que peu d’estime de moi sur les valeurs que je m’attribue… et inversement mon estime de moi se mesure aussi à la confiance que j’ai dans mes capacités.

Pour mieux comprendre :

La confiance en soi c’est savoir au fond de soi que l’on est capable, c’est sentir une sécurité intérieure qui nous permet d’affronter une épreuve, un défi, en sachant que l’on a les capacités pour le faire. Ce n’est pourtant pas de l’arrogance, être confiant ce n’est pas se vanter que l’on est invincible, c’est savoir que quoi qu’il advienne on ne s’effondrera pas, qu’on a les capacités pour passer ce cap, avec ou sans succès.

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L’estime de soi est plus de l’ordre de l’évaluation par rapport à une échelle de valeurs. Les expériences que nous vivons, qu’elles soient positives ou négatives, vont nous permettre de porter un regard plus ou moins positif sur nous-même. L’environnement familial, scolaire, vont avoir un impact certain sur ce regard, en comparaison des autres, nous allons nous positionner sur une échelle de valeurs plus ou moins positives. L’attention, le respect, l’affection favorise une bonne estime de soi, tandis que la critique, l’humiliation, la maltraitance la dégrade.

Ainsi, quand votre estime de vous-même est dégradée, vous aurez à travailler sur vos croyances, sur votre autonomie de jugement, et bien sûr, sur votre confiance en vos capacités.

Si c’est votre confiance en vous qui est dégradée, vous aurez à travailler sur le renforcement de vos capacités, sur votre aptitude à gagner un sentiment de sécurité intérieur, à  prendre des décisions qui vous aiderons à progressivement changer de regard sur vous.

Je vous propose ici, un petit exercice pour renforcer la confiance :

Asseyez-vous confortablement. Vous aurez pris la précaution d’éteindre vos portables, de prévenir votre famille que vous vous installez pour quelques minutes de tranquillité.

 

respiration abdominale

Meilleurs voeux !

openphotonet_02_-_Mio_Giardinoje vous souhaite une belle et douce année 2016.

que votre santé et votre vitalité soit pleinement votre,

que vos sens soient source de plaisir chaque jour,

et que votre curiosité au monde s’enrichisse de tous les petits plaisirs de la vie.

 

« Prendre sur soi » ennemi du mieux être

De Marianne AOUN ROBERTY psychologue et sophrologue

Depuis longtemps déjà, j’entends mes patients en consultation me dire, lors de difficultés rencontrées au cours de leur vie, qu’ils ont « pris sur eux » pour supporter, pour accepter l’inacceptable parfois, pour endurer… et chaque fois, je ne peux m’empêcher de relever l’expression comme  la signature d’un plus grand effort pour se nuire à soi-même, pour se nier dans son vécu, ses valeurs ou son ressenti.cascade

Que signifie cette expression?

D’une part il s’agit d’une locution qui amène à se charger pour quelqu’un d’autre  d’une tâche sans forcément en avoir l’autorisation de ses supérieurs. En quelque sorte, si la chose devait mal tourner c’est moi qui en prendrais la responsabilité.

Par extension cette locution donc amène à prendre pour soi les fautes d’un autre, ou ses erreurs.

Cette expression va plus loin quand il s’agit de se faire violence, de se retenir, de se contraindre à ne pas réagir sur l’instant face à une difficulté. Et c’est souvent dans ce sens-là que mes patients l’emploi.

Dans le sens courant il s’agit donc bien d’éviter de ressentir, de parler  ou d’agir face à une situation qui nous semble intolérable.

L’évitement d’un évènement inconfortable est somme toute très naturel, très humaine, et nous en faisons l’apprentissage très jeune d’ailleurs, en détournant notre attention quand notre corps est douloureux, à penser à autre chose quand la situation que nous vivons est désagréable. Comme par exemple, chez le dentiste, nous pouvons nous promener dans nos pensées pour ne pas nous focaliser sur les sensations désagréables qui se passent dans notre bouche. Ces processus d’évitement nous sont alors fort utiles et souhaitables. C’est d’ailleurs un outil que nous utilisons en sophrologie assez couramment afin de nous aider à mettre à distance certain effets négatifs immédiat au profit de sensations plus sereines et tranquille.

Or donc, l’évitement peut nous être utile oui.

Mais, dans la vie de tous les jours, il se peut que nous ayons à éprouver des émotions négatives, plus ou moins fortes, comme de la colère, le chagrin,  l’inquiétude,  la frustration ou autre…

Et quand nous « prenons sur nous » pour ne pas exprimer ces émotions, le corps lui, les encaisse quand même. Autrement dit, il vit une émotion mais ne la fait pas sortir : le cœur s’accélère, les vaisseaux sanguins se dilatent, la pression artérielle peut augmenter, une poussée d’adrénaline peut être déclenché, mais le mental s’ingénue à nier toutes ses réactions physiologiques qui devrait pousser l’individu à agir, à réagir. Au contraire, il force son corps et son mental à se contraindre au renoncement de soi. Il se fait violence en ne s’autorisant pas une réaction normale.

De petits renoncements comme ne pas réagir au quart de tour quand votre supérieur vous fait un reproche plus ou moins justifié, peut parfois être de bon aloi pour sauver sa place…  ponctuellement j’entends. Car si ces remarques plus ou moins désobligeantes se répètent sans fondement, on tombe alors dans un autre débat sur le harcèlement au travail qui sera l’objet d’un autre article.

Mais, et vous l’avez sans doute constaté par vous-même,  lorsque nous nions une émotion souvent, bien souvent elle revient nous hanter longtemps, avec même un surplus d’intensité, accompagné de culpabilité. Et si cela se répète trop souvent,  peut alors devenir des pathologies plus intenses comme des angoisses phobiques, une forte culpabilité injustifiée mais très prégnante, des poussées de psoriasis, des réactions psychosomatiques comme des lombalgies, des dérèglements gastriques…

Une étude menée par WEGNER (1987) vient illustrer le fait que nous ne pouvons nier une émotion ou une  image  qui s’impose à nous. Cette étude montre qu’une consigne négative multiplie par 2 la fréquence de l’image que nous en avons. Si l’on vous dit « surtout ne pensez pas à un ours blanc, ne l’imaginez pas, laissez votre imagination gambader librement » la majorité des gens ne voit plus que l’ours blanc, évidemment ! De même si l’on dit à un enfant ne court pas, ou ne saute pas dans la flaque, il n’aura qu’une envie c’est de courir ou de sauter dans cette satanée flaque!

L’évitement tant de l’ours blanc, de l’envie de courir ou de sauter dans la flaque, ne dure en fait que quelques seconde, et reviens en rebond dans la pensée comme une injonction positive : l’ours blanc s’impose à notre pensée, courir devient une envie irrépressible comme de sauter à pieds joint dans la flaque !

Et que faisons-nous bien souvent ?

nous allons chercher à l’éviter en occupant notre esprit ou notre corps à autre chose : comme la boulimie de travail, d’internet ou de télévision, ou bien de sport ou encore d’hypersomnie,  parfois cela peut aller jusqu’à des excès de boissons, de drogue ou d’autres addictions… tout cela pour éviter de penser, de retrouver cette sensation désagréable, pour ne lui laisser aucune place.

Mais tout le monde sait que cela ne résout pas le problème, car dès que l’activité cesse, la sensation désagréable revient, parfois avec plus d’intensité encore.

Que peut vous apporter la psychothérapie et la sophrologie ?

En psychothérapie, nous allons apprendre à accueillir ces émotions, à leur donner l’espace qui leur manquait, à les mettre en mot dans un premier temps, à en chercher l’origine, la place qu’elles ont pris, parfois les répétions dans le temps. Bref à prendre le temps de les vivre, même si cela implique de pleurer, de s’effondrer quelques instant. Le lieu, l’espace du cabinet est prévu pour cela, et surtout vous n’êtes pas seule dans ce moment-là, je recueille avec vous ce moment, je vous aide à mettre les mots sur ces émotions, et nous prenons le temps de les comprendre. A choisir ensemble la juste place qu’elles doivent prendre pour vous.

En sophrologie, nous travaillerons sur les valeurs, sur le sens que l’on souhaiter donner à sa vie, un choix en toute conscience qui nous aidera à prendre les bonnes décisions appropriées à notre équilibre psychologique et physiologique. La méditation pourra être utilisée comme un outil d’ouverture de sa conscience vers une réalité plus sereine, un accueil serein et conscient des émotions des sensations. Petit à petit nous apprendrons à limiter les charges négatives et à poser des mots sur nos émotions. Nous travaillerons la respiration comme outils de retour au calme, sans pour autant nier l’émotion.

Ainsi, vous n’emploierez plus cette expression « je prends sur moi », vous n’userez plus de ce subterfuge de vous contraindre à ne pas ressentir, et s’il vous faut éviter de vous mettre en colère par diplomatie ou nécessité, vous saurez respirer calmement et rien ne vous empêchera pourtant de dire, « je n’aime pas ce que vous me dites, mais je l’entends, j’en prends acte, mais peut être que nous en rediscuterons ». Poser des mots, cordiaux, mais fermes, peut bien souvent aider une communication qui reste bloquée. De même, se poser comme une personne qui n’accepte pas toute les contraintes permet bien souvent le respect, car on se pose comme une personne responsable, connaissant ses limites.

Quand une personne vous manque de respect ou est incorrecte avec vous, vous pouvez lui dire cordialement mais fermement, « je n’aime pas ce que j’entends, alors je vous le rends, cela ne m’appartient pas ».

Soyez vous-même c’est ce que vous savez faire de mieux !

J’espère avoir été suffisamment claire dans mes explications, n’hésitez pas à me laisser un petit commentaire ci-dessous. Merci.

 

 

 

Comment faire face à tout ce traumatisme dû aux attentats sur Paris ?

nuages Par Marianne AOUN ROBERTY psychologue et sophrologue

Le choc

La plupart d’entre nous avons été en état de choc lorsque nous avons appris les attentats sur Paris ce 13 novembre 2015.  Ce déferlement de violence inouïe était impensable, inédit depuis des décennies en France. D’autant plus que la cible était aveugle sans distinction de couleur de peau ou de religion, frappant au hasard. Cela aurait pu être l’un de nous à cette terrasse de café, ou dans cette salle de concert. C’est justement parce que ces victimes nous ressemblent que nous nous sentons  en état de choc. Sidéré. Effondré. Parce que nous pouvons nous identifié. Parce que le danger n’était pas prévisible pour aucune de ces victimes.

Aller prendre un verre avec des amis, aller manger au restaurant en famille, aller au concert pour son anniversaire ne sont pas des actes dangereux par nature, bien au contraire !

Le temps de recueillement

Le besoin de recueillement, de communion font partie du processus de deuil.

Le deuil est un processus long et complexe, qui peut passer par plusieurs étapes : l’étape du choc, en premier lieu, la sidération, l’incapacité à comprendre ce qui se passe.  Puis l’étape du dénie on ne peut, ne veut pas y croire,  suit souvent celle de la colère et du questionnement : pourquoi ? Où l’on cherche des responsables…, ensuite peut venir l’étape de l’effondrement dépressif avec  le chagrin, la difficulté à appréhender l’absence, et enfin  avec le temps, l’étape de l’acceptation, bien que ce mot ne soit pas si bien choisi, peut être plutôt le temps de l’apaisement

Dans les moments que nous avons vécu le 13 novembre, la sidération, l’incompréhension, la colère, l’effondrement, ont été collectifs. Que l’on ait perdu quelqu’un de proche ou non. Car c’est le hasard injustifié qui a touché les victimes.

Chacun à sa mesure va trouver ce temps, en famille, entre amis, ou de façons collectives.

Comment affronter ce traumatisme collectif ?

Je dirai qu’il est important de poser des mots sur son ressenti. Parler, s’exprimer, débattre, s’informer, dire ses sensations, ses peurs, sa peine, son chagrin.

De parler, de dessiner, d’écrire, de créer si cela fait partie de vos automatismes, de vos envies.

Peut-être aussi de militer si cela vous convient mieux.

De communier  de façon laïque ou selon ses croyances avec d’autres.  Se rapprocher les uns des autres dans des moments collectifs difficiles c’est tout simplement normal, humain.

Et aussi, de se recentrer sur nos valeurs, celle qui fonde notre unicité, notre équilibre personnel.

En sophrologie, j’irai vers des exercices d’ancrage, des exercices de recentrage, et bien entendu vers le 4ème degré sur la vivance des valeurs d’humanité, d’unicité, d’universalité, d’éternité.

Et après ?

Personne ne peut prévoir l’avenir, personne ne peut dire si cela recommencera ou non.

Alors j’aurai tendance à dire, profitez de chaque instant de la vie. vivez chaque minute avec intensité. Ne renoncez pas à vos rêves, à vos valeurs, soyez  vous-même, pleinement, intensément. Dites à ceux qui comptent pour vous combien vous les appréciez.

Vivez l’instant présent, l’ici et maintenant en toute  conscience, profiter de chaque petit bonheur qui passe, justement, avec cœur, avec intensité.

Parce que nous en valons la peine, parce que la vie en vaut la peine. Parce que la liberté d’être ce que nous somme en vaut la peine.

 

conte de la balade des 5 merveilles

Les contes sophro que vous trouverez ici, sont des histoires soit que j’adapte à partir d’un conte existant, soit que j’écris en intercalant des petites séquences de sophrologie avec soit des moments de respiration, soit des moments de visualisation en faisant travailler l’imaginaire, soit encore, comme ici, des moments d’écoute, et de perceptions par les 5 sens.

 Chaque conte  à été raconté auparavent à des enfants en moyenne et grande section maternelle.

Celui-ci peut être raconté tel quel, ou raconté au cours d’une promenade, ou encore en utilisant des petits trésors ramené de la balade… à vous d’être créatif !

Il était une fois, un petit enfant, qui aimait aller se promener avec son grand-père. Son grand –père était un vieux monsieur très gentil, qui connaissait plein plein de choses !

Partir en promenade avec son grand –père c’était toujours une aventure ! Je vais vous raconter pourquoi.

Grand père prend sa canne pour marcher, l’enfant prend son petit sac à dos, avec sa gourde dedans et les voilà parti sur le petit sentier qui part derrière la mmeditation-264508_640aison. Au bout d’un moment grand père s’arrête et demande à l’enfant : regarde les feuilles des arbres ! Les couleurs qu’elles ont ! Et les formes ! Le petit enfant n’avait pas fait attention mais oui ! Les feuilles étaient d’une jolie couleur (demander à l’enfant de quelle couleur ?) et elles se balançaient doucement sur les arbres et c’était très beau avec la lumière du soleil qui les faisait briller

Ils repartent dans leur promenade et grand-père s’arrête de nouveau devant un magnifique parterre de fleurs, il dit : mmm qu’est-ce que ça sent bon ! Et le petit enfant qui ne s’était pas rendu compte s’approche et respire cette belle odeur, ce bon parfum qui sent bon ; oh oui ! (demander à l’enfant soit de se souvenir du parfum de fleurs, soit lui présenter un parfum frais sur un support quelconque)

Il continue leur chemin, il commence à faire un peu chaud, grand père s’arrête et demande à l’enfant, tu veux bien me passer la gourde ? L’enfant cherche dans son sac, et tend la gourde, grand-père boit et dit : mmm que c’est bon !!! L’enfant prend la gourde et boit lui aussi, et dit… mais cspring-flower-289844_640’est que de l’eau ? Et grand père réponds, mais quand on a chaud, quand on a soif, l’eau c’est tellement bon ! Et l’enfant qui ne s’en était pas rendu compte se dit que oui, c’est vrai. (Et vous ? avez-vous déjà senti ça ?)

Ils continuent leur chemin et soudain grand-père s’arrête sous un arbre où chantent des oiseaux, des rossignols, il dit à l’enfant de fermer les yeux et d’écouter attentivement… l’enfant n’avait pas fait attention mais oui… c’est joli le chant des oiseaux (Mettre l’appli Relax M. en route sur gazouillis  si vous l’avez, sinon, fermer les yeux et repenser aux chants des oiseaux) c’est agréable non ?

Ils reprennent la promenade et arrivent enfin sur un rocher, couvert  de petites plantes qui font comme un tapis de verdure, on appel cela de la mousse. Le grand-père et l’enfant s’assoient, et le grand père passe ses mains sur la mousse cette petite herbe très courte, bien verte qui s’accroche au rocher, c’est tout doux sous ses doigts, il demande à l’enfant, touche la mousse sens comme c’est doux sous les doigts… et l’enfant qui ne s’était pas rendu compte caresse la mousse… mmm c’est doux se dit-il, on aurait bien envie de s’allonger dessus ! (faire toucher un petit tapis de laine si l’on a ça sous la main, ou laisser l’enfant se souvenir de quelque chose qu’il a toucher de doux et agréable)

photo de la forêt Cari=olineC’est alors que le grand père lui dit, tu vois, cette promenade que nous avons faite, c’est la promenade des 5 merveilles, car avec tes yeux tu as vu la beauté merveilleuse des feuilles et  des fleurs dans la nature, avec  ton nez tu as senti le parfum merveilleux des fleurs , avec ta bouche tu as gouté la fraicheur de l’eau quand nous avions soif, avec tes oreilles tu as entendu le chants merveilleux des rossignols, et avec tes mains, tu as touché la douceur merveilleuse de la mousse sur ce rocher… tous tes sens: la vue, l’audition, le toucher, l’olfaction pour sentir, le goût sont là pour t’aider à être en contact avec le monde, et à trouver le plaisir et le bonheur de chaque instant.

Comment as tu trouvé cette promenade?

Et toi ? As-tu déjà fait une promenade des 5 merveilles ?

Si tu n’en a pas fait encore, tu pourras essayer, même sans aller loin !

évènement! samedi 19 septembre: journée porte ouverte de la sophrologie

logo portes ouvertes sophrola journée porte ouverte de la sophrologie approche à grands pas.

il s’agit d’une journée où tous les sophrologues ayant effectués leurs études dans une école membre de la FEPS, peuvent participer. ces écoles ont obtenue un agrément au  Répertoire national des certifications professionnelles. elles garantissent une formation sérieuse à la fois théorique et pratique. (pour aller plus loin: http://www.feps-sophrologie.fr/la-formation.html)

 

 

Je participe à la

 Journée porte ouverte de la sophrologie :

c’est gratuit ! Inscrivez-vous !

 

tel 06.72.98.93.11

Programme :

Information en petits groupes (5 à 7 personne)

de 9h à 10h30 séance pour adultes 

de  10h30 à 12h pour les enfants à partir de 5 ans, avec ou sans leurs parents

Puis de 15h à 16h 30  pour adultes

de 16h30 à 18h pour enfants à partir de 5 ans,avec ou sans leurs parents

  • Les séances pour adultes : Vous aurez une information sur les différents domaines d’application de la sophrologie en particulier: sophrologie et le stress, et sophrologie et les troubles du sommeil, mais aussi troubles de l’anxiété, difficulté de concentration…

Suivi d’une séance pratique d’initiation. 

 

  • Les séances pour enfants seront axées sur le jeu  et le conte avec la prise de conscience du souffle, et du schéma corporel. La sophrologie pour les enfants à partir de 5 ans peut être utile pour gérer les émotions ou l’anxiété, pour gérer le stress, l’énurésie, le bégaiement, la conscience de soi et de ses limites…

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la découverte n’engage à rien.

le chèque santé qui prend en charge la psychothérapie

la start-up Care Labs créée par Vincent Daffourd et Guillaume Gallois, mets en place une nouvelle manière d’envisager la santé, en particulier en offrant de s’occuper de la personne en amont du mal, c’est à dire sur le plan de la prévention.

Le chèque santé propose de mettre en place un partenariat entre l’entreprise , le salarié et les professions paramédicales de bien-être et de développement pour miser sur la prévention en proposant un complément des couvertures santé déjà existantes.

l’entreprise est invité à investir pour le bien être de ses salariés.

vertPour ma part, je souhaite un ample succès à ce système simple d’utilisation pour le salarié, et peu couteux pour le professionnel.  Un système qui favorise la prise en compte des besoins de bien-être, de bien-vivre des salariés, et qui comprend la nécessité d’une aide à cette prise de décision.

L’intérêt est triple, l’entreprise s’y retrouve en ayant des salariés créatifs, compétitifs et sereins, le salarié peut se permettre des consultations pour son mieux-être, vers des spécialités comme la psychologie, la sophrologie, l’ostéopathie, ou toutes professions paramédicales de bien-être et de développement,   et ces professionnels non afiliés à la sécurité sociale peuvent accueillir un plus grand nombre de clients.

la société CARS LABS touchera 3% des honoraires du professionnel.

N’oublions pas qu’il vaut mieux prévenir que guérir, cela coûte bien moins cher à la société.

Avec ce chèque santé, un plus grand nombre de personnes peuvent enfin avoir accès à des soins qui jusqu’ici, restaient innaccessibles car trop cher pour eux.

https://www.facebook.com/ChequeSante?fref=ts